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  • : A nous la pige !
  • : Journaliste multimédia, voici quelques uns de mes articles publiés. Ce press book en ligne me permet de vous présenter mon travail. N'hésitez pas à me contacter.
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Synopsis

Journaliste curieuse et force de proposition, je tiens à votre disposition les synopsis suivants. Rédacteurs en chef, si l'un d'eux pourraient être pertinent pour votre média, n'hésitez pas à me contacter.

 

  • Coton-tige : une pollution tombée dans l'oreille d'un sourd ? - Par Perrine ROUX
  • Ortie, la plante à tout faire - Par Perrine ROUX

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À nous la pige !

Bienvenue sur À nous la pige !

 

Je suis journaliste multimédia (print, web et radio).  À nous la pige est mon pressbook en ligne. Vous pourrez y consulter certains de mes articles publiés. Toujours à la recherche de nouveaux sujets et de nouvelles collaborations, j'attends vos propositions et commentaires. Désireuse d'intégrer une rédaction ou un service de communication, je me tiens à votre disposition.

 

N'hésitez pas à me contacter.

Bonne lecture !

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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 09:00

L'association Effinergie® est à l'origine du label BBC. C'est elle qui en a déterminé les critères. Catherine Bonduau, directrice d'Effinergie®, revient pour nous sur la création de son association et du label BBC, ainsi que sur les projets à venir pour le parc immobilier français.

 

Maisons d'ambiance construire en bois : Pourriez-vous nous présenter l'association Effinergie® ?

 

Catherine Bonduau : L'association Effinergie® a été créée en mars 2006 conjointement par 20 régions sur 22, les villes de Paris et Dijon, ainsi qu'un large panel d'experts. Notre objectif était alors d'initier une dynamique sur le marché du neuf et de la rénovation, pour que les bâtiments soient plus performants et confortables. À l'époque, il y avait beaucoup d'initiatives isolées de constructions ou de rénovations plus respectueuses de l'environnement. Bon nombre de maîtres d'ouvrages étaient sensibilisés aux problèmes climatiques. Nous voulions leur offrir un cadre et une meilleure lisibilité des points à traiter dans un bâtiment. C'est pour cela que nous avons choisi de créer le label BBC. C'est une reconnaissance pour eux. De plus, le label permet de dissocier les maîtres d'ouvrages réellement engagés dans la construction performante, de ceux qui se contentent de faire des effets d'annonce.

 

MACB : Comment les critères du label BBC ont-ils été définis ?

 

CB : Nous avons commencé par faire mener des tests en 2007 par deux bureaux d'étude : Tribu Énergie et Enertech. L'objectif était d'aller vers un bâtiment performant, sans pour autant créer une rupture économique et technique. Il ne fallait pas que nos critères soient irréalisables du point de vue technique, ni trop coûteux à mettre en œuvre. L'étude a été menée dans les secteurs tertiaire, collectif et privé. Il nous fallait aussi être cohérents avec la réglementation thermique en vigueur [RT 2005 ndlr]. Nous voulions aboutir à un niveau thermique satisfaisant et à une optimisation énergétique suffisante, en utilisant les matériaux présents sur le marché. Il a donc fallu prendre en compte plusieurs critères et intégrer des notions de bioclimatisme, tout en tenant compte des particularités climatiques locales.

 

Extrait du hors-série Maisons d'ambiance construire en bois n°3, par Perrine ROUX

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 08:57

Créé en 2007, le label BBC (bâtiment basse consommation) est attribué aux constructions neuves ou rénovées les moins énergivores. Une maison BBC, c'est donc avant tout une construction respectueuse de l'environnement, car peu énergivore. Pour vous, les avantages sont multiples : confort thermique toute l'année, économie d'énergie, et donc factures revues à la baisse.

 

La naissance d'un label

 

Le label BBC, appelé aussi BBC Effinergie® ou label BBC 2005 – Effinergie®, est en vigueur depuis 2007. Il est aujourd'hui le seul label reconnu par l'État pour désigner les bâtiments les plus performants du point de vu énergétique. Pour la petite histoire, il a été créé par l'arrêté du 8 mai 2007, dont les prescriptions sont issues d'un référentiel établit par l'association Effinergie®. Elle s'est alors fondée sur la réglementation thermique en vigueur : la RT 2005. Il ne faut toutefois pas oublier qu'à compter de 2013, les constructions neuves seront soumises, non plus à la RT 2005, mais à la RT 2012, qui reprend les critères du label BBC. En clair, le label BBC ne sera alors plus l'exception, mais la norme ! Construire BBC aujourd'hui, ça n'est donc pas seulement un geste pour la planète, c'est aussi anticiper la réglementation de demain.

 

À l'origine, en 2007 donc, seuls les bâtiments neufs(du privé et du secteur tertiaire) pouvaient être labellisés BBC. La bonne nouvelle c'est que depuis l'arrêté du 29 septembre 2009, les rénovationspeuvent aussi être estampillées basse consommation. Quelques différences sont bien entendu à noter, notamment en ce qui concerne les critères, mais aussi du côté du nom du label : BBC rénovation.

 

Désormais, le label peut donc être attribué à des bâtiments privés ou du secteur tertiaire, neufs ou rénovés. Sachez que l'association Effinergie® n'accorde pas directement le label. C'est l'un des quatre organismes certificateurs reconnus par l'État et accrédité par le COFRAC qui s'en charge (Cerquami, Promotelec, Céquami et Certivéa). Le 19 juin 2007, Effinergie® a d'ailleurs signé une convention de partenariat avec ces organismes.

 

Extrait du hors-série n°3 de Maisons d'ambiance construire en bois, par Perrine ROUX

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 08:00

Le 5 novembre dernier, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et la Conférence des présidents d'universités (CPU) ont signé un accord cadre qui formalise leur partenariat. Salué par la Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Valérie Pécresse, il est aussi vivement critiqué par une partie de la communauté scientifique.

 

L'accord cadre CNRS-CPU, approuvé par le Conseil d'administration du CNRS puis signé par les deux partenaires le 5 novembre 2010, encadre désormais les relations entre l'organisme de recherche et les universités dans les unités mixtes de recherche (UMR). « La CPU est un partenaire naturel du CNRS » explique Alain Fuchs, président du CNRS. « Cet accord fixe un cadre général, nécessaire dans le contexte actuel en mouvement ». La Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Valérie Pécresse, se félicite de cet accord cadre, qu'elle considère comme un décloisonnement entre ces acteurs, aussi bien en terme de gestion, de recrutement, de formation, de progression conjointe et de valorisation. Alain Fuchs voit même dans ce texte « l'ébauche d'un modèle de gouvernance à la française, alliant ancrage national et territorial ».

 

Copilotage des UMR pour certains...

 

L'accord cadre formalise donc les relations de manière globale entre le CNRS et les universités dans les UMR. C'est ensuite à chacun de passer des conventions précises, conformément à ce cadre. « Nous avons souhaité un texte simple, pour une meilleure lisibilité. Le résultat est là, puisque l'accord ne compte que 4 pages » raconte Alain Fuchs.

 

Extrait de Vie Universitaire N°140, par Perrine ROUX

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 08:00

Depuis 2006, certains travaux bénéficient d'une TVA à taux réduit, à 5,5 %. Cette mesure prévue à l'origine jusqu'à 31 décembre 2010, a été prolongée pour l'année 2011. Elle concerne uniquement les travaux réalisés par des professionnels, sur les logements anciens.

 

Travaux et fournitures

 

La TVA réduite à 5,5 % dite bâtiment, touche :

  • fournitures,

  • matières premières,

  • équipements,

  • travaux (rénovation, électricité, maçonnerie, ravalement...).

 

Le recours à un professionnelest indispensable aussi bien pour la fourniture du matériel que pour la réalisation des travaux afin de pouvoir bénéficier de la TVA à 5,5 %, sans cela, la TVA sera de 19,6 %. Il doit vous facturer chacun de ces actes.

 

Pour qui et pour quoi ?

 

La TVA à 5,5 % ne concerne que les bâtiments d'habitations anciens. C'est-à-dire qu'ils doivent avoir été construits il y a plus de 2 ans. Cela concerne aussi bien les maisons individuelles que les appartements, les résidences principales que secondaires, vides ou occupées.

 

Toutefois, il existe une exception pour les logements neufs. En effet, des travaux réalisés dans un local terminé depuis moins de deux ans peuvent être imposés à 5,5 % au lieu de 19,6 %, si le chantier est urgent.

 

À noter : Les bâtiments dits mixtes, utilisés à la fois comme habitation et comme bureau, peuvent aussi être concernés par cette TVA à taux réduit. Pour cela, l'utilisation en tant qu'habitation doit représenter plus de 50 % de la superficie.

 

Extrait de Maisons d'ambiance construire en bois n°27, par Perrine ROUX

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11 janvier 2011 2 11 /01 /janvier /2011 08:00

Des coups de pouce financiers existent pour vous aider à réaliser vos projets de construction et rénovation. En ce début d'année 2011, réformes et nouveautés se bousculent en la matière. Un état des lieux s'impose.

 

Crédits d'impôt, ce qui change

 

Les rénovations et améliorations de l'habitat à caractère écologique ouvrent droit depuis 2005 à des crédits d'impôt. Crise oblige, les taux de certains d'entre eux ont été revus à la baisse.

 

Les crédits d'impôts développement durable sont accordés pour certains travaux d'amélioration ou d'équipement de la résidence principale, entrainant une amélioration énergétique du logement. Cela concerne par exemple le chauffage bois ou l'éolien domestique Cette aide peut bénéficier au propriétaire-occupant, occupant à titre gracieux et locataire domicilié en France.

 

Le taux de ces crédits d'impôt varie en fonction des travaux et des équipements. L'État a décidé d'abaisser certains d'entre eux en 2011. Ce coup de rabot concerne le crédit d'impôt pour le photovoltaïque, qui passe de 50 % à 25 %. La réforme est entrée en vigueur le 29 septembre 2010. Toutefois, si vous avez reçu votre devis ou avez versé un acompte avant cette date, vous pouvez encore bénéficier du crédit d'impôt au taux de 50 %.

Les pompes à chaleur(PAC) sont aussi touchées par cette baisse, amorcée en 2010 avec la suppression des PAC air-air de la liste des équipements finançables. Pour les autres PAC, le crédit d'impôt devrait passer de 25 % à 22,5 voire 22 %. Les PAC géothermiques, qui sont les mieux subventionnées, bénéficieront désormais d'un taux de 36 % au lieu de 40 %.

 

Extrait de Maisons d'ambiance construire en bois n°27, par Perrine ROUX

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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 08:06

La toiture plate fait un retour remarqué dans l'architecture actuelle. Utilisée depuis des décennies, cette technique se renouvelle aujourd'hui pour notre plus grand plaisir. Lignes contemporaines, qualités techniques voire écologiques, et possibilité d'utiliser cet espace comme terrasse... Pourquoi s'en priver ?

 

PB-21-copie-1.jpgUn toit  à plat

La toiture t errasse, autrement appelée toit plat, diffère de la toiture classique principalement par sa forme . Elle n'a qu'un pan, construit à l'horizontale, enfin presque. En réalité, la toiture plate est légèrement inclinée, sa pentepeut atteindre les 5 %. Cette précaution est indispensable pour permettre l'évacuation des eaux pluviales.

 

Cette pente est de 1 % lorsque la toiture terrasse n'est pas accessible et de 1,5 % et 2 % dans le cas contraire. Lorsque la surface est importante, la pente peut atteindre les 5 %, sans toutefois les dépasser. Si vous ne disposez que d'une petite surface, votre toiture sera alors légèrement bombée en son centre, pour que l'eau s'évacue de toute part.

 

Outre l'esthétique, la toiture terrasse offre plusieurs avantages, tel que sa bonne résistance aux charges lourdes (jusqu'à 100 à 200 kg/m²). De plus, les progrès techniques réalisés en matière d'isolation, qui était son point faible il y a encore quelques années, la rendent aujourd'hui très performante au niveau thermique. Lorsque le toit plat est accessible il devient un espace à vivre. Vous disposez alors d'une terrasse, que vous pouvez meubler, végétaliser... Plus besoin de terrain pour avoir un petit bout de jardin !

 

Extrait de Maisons d'ambiance construire en bois n° 27, par Perrine ROUX

 

Crédit photo : Optigruen

 

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 08:00

Vous êtes en train de créer votre entreprise et vous vous demandez où installer votre activité ? Pourquoi pas chez vous ! Suivez le guide.

 

Trouver un bon local pour son entreprise peut devenir un véritable casse-tête et reste une opération plutôt onéreuse. Le choix est vaste : louer un bureau, intégrer un centre d'affaires, se tourner vers une société de domiciliation... Et pourquoi ne pas s'installer tout simplement à son domicile ? Pas de loyer supplémentaire à débourser, ni de frais de déplacements à supporter. L'économie n'est pas négligeable lorsque l'on démarre une activité. Mais on ne peut pas tout faire chez soi.

 

Une domiciliation libre, mais un exercice effectif plus contrôlé

Il faut bien différencier l'adresse officielle de sa société - son siège - du lieu où l'on exerce son activité professionnelle - réception des clients, stockage de pièces.... Les deux ne sont pas forcément situés au même endroit et surtout, ils ne sont pas réglementés de la même manière :

1. Lors de l'immatriculation au registre du commerce et des sociétés, vous pouvez librement indiquer votre domicile comme étant le siège de votre entreprise. Cette déclaration permet de fixer l'adresse officielle où vous recevrez tous les documents liés à votre activité (factures, relevés...).

2. Que vous soyez propriétaire ou locataire, il est possible de travailler à votre domicile quand vous être créatrice d'une entreprise individuelle ou d'une société. Certaines conditions doivent être toutefois respectées :

  • si votre logement se situe dans une ville de moins de 200 000 habitants ou dans les départements des Hauts-de Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, vous pouvez exercer votre activité à domicile à condition qu'aucune disposition contractuelle ou législative ne s'y oppose ;
  • si votre logement se situe dans une ville de plus de 200 000 habitants ou dans une zone franche urbaine (ZFU), vous pouvez exercer votre activité à domicile s'il s'agit de votre résidence principale et que cette activité ne conduit pas à recevoir de la clientèle ou des marchandises. De plus, si le logement est situé en rez-de chaussée, l’activité ne doit pas occasionner de nuisance ou de danger pour le voisinage.

Votre salon n'est pas une fabrique de vêtements !

Même si vous remplissez ces conditions, tout ne peut pas être fait à domicile. Pas question d’installer une fabrique de vêtements ou d’objets dans votre salon !

 

(...)

 

Sahra SAOUDI

Retrouvez le reste de l'article sur MaViePro.fr

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20 octobre 2010 3 20 /10 /octobre /2010 08:00

Enceinte, vous pouvez bénéficier d'un congé maternité de 16 semaines en moyenne. Mais qu'en est-il chez nos voisines ? Sommes-nous si bien loties ?

 

Toutes les femmes ne sont pas égales face à la maternité et aux droits en découlant. Que l'on soit enceinte au Royaume-Uni ou en Italie, en Suède ou aux États-Unis, les disparités sont importantes en matière de congé maternité. Nous, les Françaises avons droit à 16 semaines (dont 10 après la naissance), une durée prévue légalement par l'article L122-26 du code du travail. Mais hors de nos frontières, qu'en est-il ? Un petit tour du monde s'impose.

 

Mieux qu'en Espagne mais moins bien qu'en Italie

Heureusement pour les Européennes, leurs pays respectifs tâchent au mieux de prendre en compte la situation délicate des mères actives et notamment la reprise de leur activité professionnelle. C'est pourquoi au sein de l'Union européenne, la durée moyenne du congé maternité se situe entre 16 et 25 semaines (variable selon le nombre d'enfants attendus et celui déjà à charge). Certains États membres sont beaucoup plus généreux : 28 semaines en Slovaquie, 26 semaines au Royaume-Uni, idem en Irlande. Et la palme revient... à la Bulgarie, qui octroie 54 semaines à ses mamans.
Quant aux Suédoises, elles n'ont pas le droit à un congé maternité. Enfin au premier abord seulement. Si elles bénéficient d'un congé pré-natal de seulement 8 semaines, il existe parallèlement un système de congé parental très flexible. Celui-ci peut être pris aussi bien par la mère que par le père de l'enfant et aller jusqu'à 75 semaines !

53% des britanniques y renoncent en partie

Bien sûr, il ne s'agit que de durées maximales prévues par la loi. Rien n'oblige les femmes à  prendre la totalité de ce congé. De plus, la pression du milieu professionnel peut parfois pousser les mères à reprendre plus vite que prévu le chemin du bureau. Alors qu'en principe elles peuvent bénéficier de 26 semaines, 51% des Irlandaises et 53% des britanniques préfèrent ainsi renoncer à prendre toutes leurs semaines de congé. Et c'est Outre-Altantique que le tableau est sans conteste le plus sombre. Aux États-Unis, ce coup de pouce aux mères n'existe tout bonnement pas. Qui dit absence de congé légal, dit donc absence d'indemnisation !

 

(...)

 

Sahra SAOUDI

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 11:11

Waking sleepy beauty (réveiller la Belle au bois dormant) est un documentaire exceptionnel sur une des périodes sombres des célèbres studios d'animations Disney. Réalisé par Don Han, l'une des petites mains de l'animation à l'époque et aujourd'hui producteur renommé de films d'animation, ce documentaire est une incursion passionnante dans les studios de la Souris

Présenté pour la première fois en 2009 au festival international du film de Toronto, Waking Sleppy Beauty, sort sur certains écrans français le 6 octobre 2010. Le documentaire débute en 1984, devant les studios d'animation Disney, à une époque où l'animation était devenue le parent pauvre de la firme à la Souris. Nous sommes alors bien loin des succès interplanétaires tels que la Belle et la Bête, le Roi Lion, Aladin ou la Petite Sirène, mais ce documentaire nous fait découvrir de l'intérieur toute la période durant laquelle hommes et femmes passionnés vont travailler avec acharnement et talent pour réveiller la Belle au bois dormant.


L'histoire de Disney vue de l'intérieur
Les images sont parfois jaunies, tremblantes ou floues, et pour cause, ce sont deux des animateurs de l'époque (John Lasseter et Joe Ranft) qui ont tourné ces images entre 1984 et 1994. On y découvre l'équipe, dont de nombreux noms sont aujourd'hui très connus dans le monde de l'animation, tels que Don Han, Peter Schneider, Tim burton, Ron Clements, John Lasseter... Au-delà de l'image de jeunes animateurs passionnés et motivés par le travail de leur rêve chez Disney, le documentaire présente une toute autre réalité. Celle d'une animation totalement délaissée par la firme, de films d'animations ne rencontrant pas le public et du déclin dans les années 80 de cette branche de Disney au profit des films classiques, des parcs d'attraction et des produits dérivés. Pour que l'animation made in Disney retrouve ses lettres de noblesses, aussi bien côté public que qualitatif, une poignée d'hommes (et de femmes bien qu'elles ne soient malheureusement pas montrées dans ce documentaire) aussi bien animateurs que directeurs, musiciens et créatifs, a travaillé pour créer les chefs d'œuvres qui ont permis aux dessins animés de revenir au devant de la scène : la Belle et la Bête, le Roi Lion et la Petite Sirène.

Mais tout ne s'est pas fait en douceur comme nous le montre Waking Sleepy Beauty. Guerres d'égos, conflits, priorité marketing sur la créativité artistique, bataille pour faire primer la qualité propre à Disney... L'une des bonnes surprises de ce documentaire est son objectivité. Les défauts de chacun, notamment l'égo des têtes pensantes, les moments de doutes et de fatigue, les nuits blanches... tout semble être montré à l'écran. Bien entendu, la touche Disney est toujours présente embellissant légèrement le tableau. Pour autant, le résultat est un documentaire passionnant, adulte, montrant toute la complexité de faire rimer gestion d'une grande société et créativité artistique, grâce auquel le spectateur en apprend beaucoup sur les coulisses de Disney, l'une des multinationales les plus connues du grand public.
Perrine ROUX (www.lepetitjournal.com) lundi 11 octobre 2010

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 09:08

Se chauffer 0307-ST2008_Dequincez_Jpg.jpgau bois est une évidence pour beaucoup d'entre nous. Écologique, économique, naturel... il semble cumuler tous les atouts du chauffage idéal. Mais encore faut-il pouvoir trouver le chauffage bois qui vous convient parmi les différents types : cheminée, insert, poêle, chaudière... ce ne sont pas les possibilités qui manquent !

Modèles disponibles

Si vous souhaitez vous équiper d'un chauffage bois, vous avez sûrement arpenté les rayons d'un magasin d'équipements d'intérieur ou de bricolage, feuilleté tous les catalogues, visité de nombreux sites internet... Vous savez désormais que l'offre de chauffages bois est très vaste. En effet, vous avez le choix entre :

  • - la classique cheminée ouverte,
  • - le foyer fermé ou l'insert,
  • - le poêle (classique, turbo, de masse)
  • - les chaudières.


La cheminée ouverte est le moins performant de tous les chauffages bois, mais aussi le plus répandu. Elle séduit tous les amateurs de flambées conviviales et est aussi bien un objet de décoration, qu'un matériel de chauffage d'appoint. La cheminée ne peut pas permettre de chauffer la totalité de la maison. Elle est le plus souvent utilisée comme créatrice d'ambiance ou chauffage bois d'appoint dans la pièce où elle se trouve. La chaleur émise par les bûches brûlées se diffuse dans la pièce, mais une grande partie s'échappe par le conduit de fumée. Toutefois, le rendement peut être amélioré par l'ajout de dispositifs tels que des récupérateurs de chaleur ou un double foyer à combustion inversée.

Les foyers   fonctionnent comme une cheminée, mais ont des performances plus élevées, car le feu, bien que visible, est enfermé derrière une vitre. Il est possible soit d'installer entièrement ce type de chauffage bois (foyer fermé), soit de fermer une cheminée ouverte en y implantant un caisson métallique (insert). Il s'agit là encore d'un chauffage d'appoint, car il ne permet pas de chauffer toute la maison, mais est beaucoup plus performant qu'une cheminée ouverte, et consomme donc moins de combustible.

 

Par Perrine ROUX, extrait de Maisons d'ambiance construire en bois octobre-décembre

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