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  • : A nous la pige !
  • : Journaliste multimédia, voici quelques uns de mes articles publiés. Ce press book en ligne me permet de vous présenter mon travail. N'hésitez pas à me contacter.
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Synopsis

Journaliste curieuse et force de proposition, je tiens à votre disposition les synopsis suivants. Rédacteurs en chef, si l'un d'eux pourraient être pertinent pour votre média, n'hésitez pas à me contacter.

 

  • Coton-tige : une pollution tombée dans l'oreille d'un sourd ? - Par Perrine ROUX
  • Ortie, la plante à tout faire - Par Perrine ROUX

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Attention : La reproduction et l'utilisation des documents textes et photos publiés sur ce site sans l'accord express et écrit des auteurs est strictement interdit. Conformément au droit de la propriété intellectuelle, toute reproduction, utilisation ou diffusion de copies est expressément interdite et sanctionnée pénalement.

À nous la pige !

Bienvenue sur À nous la pige !

 

Je suis journaliste multimédia (print, web et radio).  À nous la pige est mon pressbook en ligne. Vous pourrez y consulter certains de mes articles publiés. Toujours à la recherche de nouveaux sujets et de nouvelles collaborations, j'attends vos propositions et commentaires. Désireuse d'intégrer une rédaction ou un service de communication, je me tiens à votre disposition.

 

N'hésitez pas à me contacter.

Bonne lecture !

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 09:31

Lorsqu'on souhaite construire une maison respectueuse de l'environnement, chaque détail compte. Du sol au plafond, des fondations aux finitions, il faut être vigilant. Les portes et fenêtres n'échappent pas à cette règle. Sources de lumière et d'air frais, elles sont aussi le théâtre de gaspillages...


La chasse au gaspi


Herm.evolu.P17.jpgÉconomiser de l'énergie chez soi passe par une recherche attentive et minutieuse des lieux de fuite. On estime généralement que les portes et fenêtres représentent entre 20 et 30% des pertes énergétiques. Soit un gaspillage de chaleur et donc une surproduction de CO2, et bien entendu, des dépenses indues. Pour éviter que les portes et fenêtres ne se transforment en gouffres énergétiques, il faut traquer méticuleusement les fuites !


Les infiltrations d'air au niveau des ouvertures et des menuiseries sont fréquentes. Elles sont la cause de pertes de chaleur, donc de gaspillage énergétique. Pour savoir s'il y a des fuites au niveau de vos ouvertures, c'est simple. Il suffit de présenter la paume de la main face à la porte ou la fenêtre, et de la déplacer afin de balayer toute la surface de l'ouverture. Pensez aussi à vérifier les espaces autour de la fenêtre ou de la porte, y compris la jointure entre la plinthe et le sol. Vous sentez un courant d'air froid ? La fuite tant redoutée est bien là. Il y a donc un défaut dans l'isolation de votre ouverture. Soit, l'infiltration d'air provient de l'ouverture elle-même, par des fissures ou des trous par exemple, soit de la menuiserie (du cadre). Autre élément propice aux fuites, le châssis d'une fenêtre. En effet, s'il est mal conçu ou mal posé, un espace laissant l'air s'infiltrer peut se créer entre la partie fixe du châssis, et les ouvrants. Il faut savoir toutefois que les progrès techniques en la matière apportent de bonnes solutions évitant les infiltrations au niveau des châssis.

Maintenant que la fuite est identifiée, il ne reste plus qu'à la réparer. Si elle se situe au niveau de l'encadrement on va pouvoir le calfeutrer avec du matériel spécifique, disponible en quincaillerie.

Si les dommages sont trop importants, n'hésitez pas à changer les portes et fenêtres touchées. Mieux vaut investir dans de la qualité que continuer à dépenser pour une passoire énergétique ! Un professionnel pourra vous conseiller les ouvertures les plus performantes et adaptées à votre situation, et bien entendu les poser.

 

Extrait de Maisons d'ambiance n°24 par Perrine ROUX

 

Photo : Art et fenêtre

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 09:45
La toiture, l'essentiel en une page

La toiture est un élément important dans une maison. En effet, elle a plusieurs rôles plus ou moins complexes qui garantissent le confort et le bien-être des habitants. Que l'on choisisse une toiture en pente, terrasse ou arrondie, elle doit remplir plusieurs fonctions.

Ainsi la toiture sert à :

  • Protéger des éléments extérieurs tels que la pluie, la neige, le vent. Elle est ainsi en quelque sorte la première protection de la maison.
  • Évacuer l'eau et l'empêcher de pénétrer à l'intérieur et d'endommager la structure du bâtiment.
  • Isoler du froid et de la chaleur extérieure.
  • Décorer et donner une touche esthétique à la maison grâce au choix de la forme du toit, des matériaux de couvertures et de leurs couleurs, des ouvertures, ainsi que des différents ornements que l'on pourrait y installer.
  • Elle peut être écologique si l'on fait le choix de composants « verts » tels que la toiture végétalisée, ou quand elle reçoit des panneaux solaires.

Visitez notre site spécialisé sur le solaire

  • Elle peut créer un espace habitable supplémentaire. Elle est alors aménagée pour former un espace à vivre, en aménageant les combles, ou en créant une toiture terrasse accessible.

Visitez notre site spécialisé sur la terrasse

 


Extrait du guide pratique sur la toiture publié sur www.comprendrechoisir.com, par Perrine ROUX

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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 09:13

La vague verte qui envahit notre société depuis quelques années semble aussi déferler sur l'enseignement supérieur. Professions de foi, plans campus, diplômes spécialisés en développement durable, ce ne sont pas les actions qui manquent. Les résultats sont-ils à la hauteur de la tendance ?


Le développement durable est aujourd'hui plus qu'une nécessité, c'est une véritable tendance, y compris dans les établissements d'enseignement supérieur. Depuis quelques années les initiatives se multiplient et semblent aller dans un sens positif, celui de la préservation de notre environnement.


Les initiatives vertes fleurissent

Les années 2000 ont marqué une montée en flèche du nombre de formations spécialisées en développement durable, dans tous les domaines : sciences, finances, ingénierie, management, droit, géographie, urbanisme, ressources humaines... « À l'université de Versailles Saint-Quentin, nous avons plusieurs formations en développement durable, en licence et en master, généralement en apprentissage » raconte Sylvie Faucheux, présidente de l'université de Versailles Saint-Quentin.


Mais, cette prolifération de diplômes à consonance écologique apporte-t-elle une réelle plus value, notamment pour les étudiants, ou fait-elle écho à la mode verte ? « Un diplôme en développement durable ne veut rien dire en soi. La formation apporte une manière d'appréhender son travail, dans une optique plus écologique » précise Sylvie Faucheux. L'étude commandée par le ministère de l'écologie au Boston Consulting Group apporte un élément de réponse. En effet, cette étude estime que le Grenelle de l'environnement devrait aboutir à la création d'environ 600 000 postes d'ici à 2020. Les débouchés seraient donc bien réels. Ce que confirme Sylvie Faucheux « les formations en alternance spécialisées en développement durable que nous dispensons, ont une insertion professionnelle d'environ 97% dans les trois mois suivant l'obtention du diplôme ».

 

Extrait de Vie Universitaire n°136 de mars 2010, par Perrine ROUX

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 09:11

Les employeurs doivent proposer à leurs salariés des heures de formation continue. En effet, la loi oblige les employeurs, dont font partie les établissements d'enseignement supérieur, a participer financièrement à la formation continue de leurs personnels, et à faire mettre en œuvre le droit individuel à la formation (DIF) des salariés.


Les universités, comme tout autre employeur, doivent satisfaire à l'obligation de formation de leurs personnels, et leur faire bénéficier de leur DIF (droit individuel à la formation). Personnels BIATOS et enseignants ont donc droit à 20 heures de formation par an (s'ils sont à plein temps et en CDI), cumulables pendant 6 ans, pour un maximum de 120 heures, depuis 2007. L'université doit participer financièrement à la formation continue de ses personnels, le DIF étant quant à lui à sa charge.


Qui se forme à quoi ?

L'obligation de formation concerne donc aussi bien les personnels BIATOS que les enseignants. Pour autant, « environ 90% des formations sont suivies par des personnels BIATOS. Les enseignants sont peu demandeurs, soit par manque d'information ou d'habitude, soit parce que les formations ne leur sont pas assez adaptées. Nous souhaitons d'ailleurs actuellement mettre à jour notre catalogue de formations pour que les enseignants puissent trouver celles qui leur conviennent, comme par exemple l'environnement numérique pour la mise en ligne des cours » raconte François Germinet, vice président au développement stratégique et aux ressources humaines de l'université de Cergy-Pontoise.

Du côté des personnels BIATOS, les plus demandeurs sont ceux de catégorie C, dans un objectif d'évolution de carrière et de passage de concours. « Les personnels de catégorie C représentent environ 2/3 des formés » détaille François Germinet.

 

Extrait de Vie universitaire N°136 de mars 2010, par Perrine ROUX.

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 11:49

Pas besoin de se ruiner pour profiter des plaisirs de la bouche! Certains lieux, à Paris, vous accueillent sans que vous ayez à mettre la main à la poche... ou en tant cas de manière modérée.



Les temps sont durs, la crise est là. Ce refrain vous n'avez pu passer à travers et surtout vous avez fini par vous en rendre compte dans votre quotidien. Les premières dépenses à passer à la trappe? Les loisirs, les sorties. Alors pour maintenir un tant soi peu une vie sociale et s'octroyer quelques petits plaisirs, mieux vaut faire preuve de débrouillardise. Dénichez des bons plans!


Attendre que sa tendre moitié daigne vous proposer un restaurant? Que nenni! Des adresses parisiennes vous proposent un repas pour le prix d'une consommation. Vous payez vos verres et l'on vous remplit l'assiette. Pas mal la formule! Pour être sûre de ne pas rester sur votre faim, mieux vaut penser à réserver. Les places sont convoitées.

Pour un bon couscous, vous avez le choix entre plusieurs lieux:

- Les Fontaines, 153, rue Saint-Maur, 75011 Paris, 01 43 57 53 14 (vendredi et samedi soir) ;

- Le Taïs, 129, boulevard de Ménilmontant 75011 Paris, 01 43 55 67 90 (vendredi et samedi soir) ;

- La Chope du Château Rouge, 40, rue de Clignancourt, 75018 Paris, 01 46 06 20 10 (vendredi et samedi soir);

- Le Grenier, 152, rue Oberkampf, 75011 Paris, 01 48 05 13 52 (samedi soir à partir de 19h, de septembre à avril inclus).

Pour une soupe orientale:

- Les Trois Frères, 14, rue Léon, 75018 Paris, 01 42 64 91 73 (dimanche soir).

Et pour un plat de moules-frites:

- Le Tribal Café, 3, cour des Petites Ecuries, 75010 Paris, 01 47 70 57 08 (mercredi et jeudi soir).

Des sandwichs à 1 euro

Pas le temps de s'éterniser pendant la pause du déjeuner? Vous dégainez le sempiternel sandwich. Mais même pour ce dernier, les tarifs peuvent vite monter. Plus rien à moins de 4 ou 5 euros! C'est pourquoi un nouveau concept de restauration a été lancé début janvier, dans le 9e arrondissement. Le Goütu propose des sandwichs variés (de 13 cm, la précision est importante) à 1 euro. Vous pouvez trouver également des minis desserts à petits prix tels que des muffins, brownies, etc.

Goütu, 51, rue Le Pelletier, 75009, 01 44 79 01 87.


Éduquer ses papilles, découvrir des cuvées, des domaines... Le tout sans se ruiner, c'est possible. Dans la capitale, des cavistes proposent des dégustations de vin gratuites. Au moins avant d'acheter une bouteille, vous en connaîtrez le contenu. Pas de gaspillage ainsi! Mais à savourer avec modération.

Nos adresses:

- Les Caves Taillevent, 199, rue du faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris, 01 45 61 14 09 (chaque samedi de 10h à 14h);

- Les Petits Bouchons, 105, rue Cambronne, 75015 Paris, 01 47 34 89 31 (régulièrement le week-end, souvent en présence des producteurs).

 


Sahra SAOUDI

Publié dans Ekilafrica

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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 16:31
Faciliter la vie familiale , améliorer les conditions de travail, favoriser la mobilité... Autant de points qui intéressent les entreprises lauréates du label Égalité professionnelle. Zoom sur une récompense créée en 2005 et censé changer la donne en matière de mixité.


36 lauréates

Pas toujours aisé de mesurer les efforts en matière d'égalité femmes/hommes sur le lieu de travail ! Un indice pourtant, le label Égalité professionnelle. Créé en 2005 par l'État avec les partenaires sociaux, il distingue une organisation (entreprise, association, collectivité) qui œuvre pour l'égalité et la mixité professionnelle. À l'heure actuelle, elles sont 36 lauréates. De La Poste, à la mairie de Rennes, en passant par PSA Peugeot Citroën (1ère labellisée en mars 2005). 

Du management à la parentalité

Des profils variés mais un point en commun, une démarche volontaire suivie d'une évaluation sur: les actions en faveur de l'égalité professionnelle dans les relations sociales, l'information et la culture de l'organisme; la gestion des ressources humaines et le management; l'accompagnement de la parentalité dans le cadre professionnel.

Le label en poche, les entreprises se reposent sur leurs lauriers ? Pas vraiment. Il est valable seulement trois ans (renouvelable) et un contrôle intermédiaire intervient au bout de 18 mois. Plus de sécurité, notamment pour leurs salariées attirées par les horaires aménagés et la possibilité de mener une vie familiale de front.

Un vrai changement au quotidien ?

En plus du CV anonyme, AXA France a ainsi mis en place une correction des écarts de salaire femmes/hommes. « Concrètement, cela veut dire que nous nous engageons, par exemple à ne pas terminer nos réunions après 17h30 pour permettre à ceux et celles qui le souhaitent de développer d'autres activités après leur travail », explique, pour sa part, Jean-Yves Patry, directeur général de L'Etape, 1ère association française labellisée. Avec de telles initiatives, ces organisations n'oublient pas, en arrière plan, de s'offrir des bénéfices en matière de communication, de paix sociale et d'attractivité.

Des disparités toujours là

Un baromètre pour les futures employées qui ne doit pas faire oublier les inégalités persistantes, notamment en matière salariale. Selon une étude de la Dares d'octobre 2008, les femmes sont rémunérées, en moyenne, 27% de moins que leurs homologues masculins. Leur taux de chômage reste également plus élevé (8,3% contre 7,3% pour les hommes).

Sahra SAOUDI



En savoir plus
Consulter les détails du label, télécharger le dossier de candidature, découvrir la liste des labellisés... : Afnor


 

Comment obtenir le label ?

L'organisation doit en faire la demande, en montant un dossier de labellisation. Ce dernier est instruit par l'AFNOR Certification qui apprécie la mise en œuvre par le candidat d'actions en faveur de l'égalité professionnelle. La décision est alors prise après avis d'une Commission de labellisation réunissant représentants de l'État, de syndicats de salariés et des organisations patronales

 

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 11:50

Rester huit heures assis devant son ordinateur, en open space, il y a bien plus agréable pour votre corps. Afin d'adoucir votre quotidien et d'aménager votre cadre de travail, voici quelques astuces.



Créer un cadre agréable
En tout premier lieu, donnez de la chaleur et une touche personnelle à votre bureau. Plus question de se sentir en terrain inconnu ! Changer la couleur des murs est certainement impossible, mais apporter un cadre avec la photo de votre moitié ou de la plage de vos dernières vacances, cela est faisable. Et pourquoi pas un peu de verdure avec une plante, de préférence assez résistante pour vos périodes d'absences. En plus, un lierre ou un ficus absorbent la pollution, que des microorganismes de la terre transforment en nourriture pour le végétal. Si votre bureau manque de lumière naturelle, offrez-vous une lampe de luminothérapie. C'est bon pour le moral !
Halte au bruit ! Faites la chasse aux nuisances sonores de tout genre : baissez le niveau de la sonnerie de votre téléphone, oubliez les classeurs qui "claquent" quand on les ouvre, etc.

Soulager votre corps
Etre assis devant son ordinateur à taper sur son clavier, ce n'est pas une posture naturelle pour le corps. D'où les douleurs qui se font sentir en fin de journée, en particulier au niveau des cervicales, des épaules et du dos. Pour y remédier, il faut apprendre à s'asseoir correctement. Installez le siège de telle façon que vous puissiez utiliser votre clavier avec les avant-bras posés sur le bureau. N'hésitez pas à tester différentes hauteurs et à jouer sur l'inclinaison du dossier. En tout état de cause, votre dos doit être collé au dossier de la chaise, vos pieds bien à plat, vos jambes formant un angle droit et vos poignets reposant sur le bureau. Pour ce dernier, choisissez-le à la hauteur de vos accoudoirs. Quant à votre clavier, il doit être parallèle à votre buste et votre écran à une distance d'au moins 60 cm de vous. N'hésitez pas à demander à votre manager un repose-pieds. En attendant quelques livres empilés feront l'affaire. Il existe également un repose-poignet pour soulager les tensions de tout le bras.

Des petites pauses pour de grands effets
Ne pas détourner les yeux de votre écran de toute la journée est loin d'être la meilleur formule pour être efficace. Faire des pauses régulièrement au cours de la journée est important. Bien sûr, il ne s'agit pas d'aller dehors fumer une cigarette pendant 10 minutes. L'idée : s'octroyer des mini-pauses de moins de cinq minutes. Cela permet de soulager vos yeux, de dégourdir vos jambes en faisant circuler le sang... et de penser à autre chose qu'au travail.

Sahra SAOUDI

Publié dans Ekilafrica

Quelques exercices

Pour dénouer votre dos : Détendez le haut du dos en laissant tomber les épaules et en roulant la tête d'avant en arrière et de gauche à droite.

Pour soulager vos yeux : Une fois par heure, regardez une dizaine de fois en bas, puis en haut, sans bouger la tête. Faîtes de même de droite à gauche, en regardant le plus loin possible.

Pour éviter les yeux rougis : Clignez régulièrement des yeux pour les hydrater, en particulier si vous portez des lentilles.

Contre le stress : Massez vos mains, étirez vos bras, pétrissez quelques minutes votre nuque, ou gardez les yeux fermés, paumes sur les paupières pendant 10 secondes.

Contre les fourmillements dans les jambes : Assise sur votre chaise, repliez un genou vers votre torse, maintenez 10 secondes. Étirez une jambe et faîtes 3 rotations avec la cheville dans un sens puis dans l'autre. Puis, changez de jambe.

 

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 12:27

Place à cette nouvelle manière de se restaurer entre amis. De 17h à 21 heures, chez soi ou à l'extérieur, c'est à vous de choisir.


Out le brunch du dimanche en début d'après-midi! Désormais, mettez-vous à l'heure du « drunch ». Un mix des termes anglais « lunch » et « dinner ». Mais de quoi s'agit-il? D'une nouvelle manière de manger en fin d'après-midi, entre 17 heures et 21 heures, le dimanche bien sûr. Que vous décidiez de recevoir à la maison ou que vous investissiez un bar, l'ambiance est décontractée pour clôturer son week-end. L'idée est de passer un bon moment entre amis ou en famille, mais sans rentrer trop tard. Vous êtes ainsi tout frais pour votre retour au bureau le lundi matin.

Au menu, un buffet plutôt léger: fromages, crudités, tartes, etc. Un apéritif dînatoire, comme on dit. Chaque convive peut apporter ce qu'il a envie de manger. De votre côté, vous dressez une table basse avec une sorte de goûter sucré-salé, des petits plats à picorer. Pourquoi pas apporter une touche ensoleillée en faisant quelques tapas.

Cette nouvelle tendance en provenance des États-Unis et du Nord de l'Europe investit petit à petit la capitale.
Après un ciné ou une ballade
Beaucoup de lieux proposent des formules spéciales. Après une séance de ciné ou une ballade en plein air, faites escale au Grand Palais. Pas pour une exposition, mais bien pour « druncher ». Le Mini Palais propose un plateau à 28 euros, de 18 heures à 23 heures: potages, viandes froides, chariot de desserts et boissons. Il existe même un menu pour les enfants à 10 euros.

Un moment tendre avec sa moitié? Optez pour le Zébra Square, à la décoration refaite et intimiste. Au menu, par exemple, un cold Appetizer avec le pressé de foie gras et pomelos ou un hot Appetizer, avec la soupe de châtaigne.

Enfin, vous pouvez découvrir le drunch du Nomad's, à partir de 18 heures. Pour 20 euros, la formule s'avère très alléchante: soupe et crudités; cheeseburger ou omelette ou poulet rôti au citron; salade de fruits frais et faisselle; café, thé, chocolat chaud et jus de fruits. Il y a de quoi se lécher les babines!

Nos adresses:
Mini Palais: Avenue Winston Churchill, 75008 Paris, 01 42 56 42 42 ;
Zébra Square: 3, Place Clément -Ader, 75016 Paris, 01 44 14 91 91 ;
Mood: 114 avenue des Champs-Elysées et 1 rue de Washington, 75008 Paris, 01 42 89 98 89.
Nomad's: 12 rue Marché St Honoré, 75001 Paris, 01 42 60 47 21. 


Sahra Saoudi
Publié dans Ekilafrica

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 09:00

Friperies, puces, vide-greniers... Autant d'endroits à arpenter pour dénicher sa garde-robe ou vider ses placards surchargés. Ekilafrica vous dévoile ses bons plans pour consommer à moindre frais.


Plus question d'acheter ses vêtements au prix fort ! Premièrement, côté finances, les temps sont durs. Deuxièmement, rien n'est plus tendance que de récupérer ou de chiner la perle rare. Et même de troquer des pièces dont vous n'avez plus l'utilité depuis une éternité. Les fashionistas au compte en banque dans le rouge ont une idée : organiser des troc-party de fringues entre filles. Accessoires, chaussures, vêtements... tout peut-être échanger entre amies, connaissances et autres. Le cercle peut vite s'agrandir. À vous de lancer le principe. Du coup sur la Toile, les internautes suivent aussi la tendance et les sites fleurissent.

Quelques sites :
www.monblogdefille.com
www.marieluvpink.com
www.radins.com/troc/Vetements.htm

www.france-troc.com


Autre bon plan, les braderies organisées par les organismes caritatifs tels que les Orphelins Apprentis d'Auteuil, l'Armée du Salut ou encore Emmaüs. Ce dernier dispose de 250 centres de vente à travers l'hexagone et organise, une fois par an en juin, un événement à Paris Expo Porte de Versailles. Les associations Aides et Arcat Sida proposent également deux fois par an de grandes braderies. Les prix peuvent être élevés lorsqu'il s'agit de pièces de grands créateurs, mais les réductions vont jusqu'à 70% du tarif boutique. En plus, vous faites une bonne action par la même occasion.

N'oubliez pas non plus les friperies. Paris regorgent de bonnes adresses, certaines plus ou moins chères. Le Marais et Montmartre sont les hauts lieux du vintage.
Quelques adresses :
La Caverne à fripes : 25 rue Houdon, 75018 Paris
Free'P'Star Friperie : 8 rue Sainte Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris
Guerrissol : 17 bis boulevard de Rochechouart, 75009 Paris ; 29-31 avenue de Clichy, 75017 Paris
Rag : 81, rue Saint-Honoré, 75001 Paris.

Pour chiner, rien de mieux que sortir dans la rue. Direction les puces où de sacrés affaires peuvent être faites. N'hésitez pas à y négocier les prix.
Les adresses :
Marché aux puces de la Porte de Montreuil, Paris (20e), du lundi au samedi de 7 heures à 19h30.
Puces de Saint-Ouen (93), les samedis, dimanches et lundis : www.parispuces.com


Sans oublier bien sûr les vide-greniers et les brocantes, vrai moment de loisirs pour beaucoup de Français. Pour connaître les adresses et les dates des manifestations partout en France :

www.la-brocante.com
http://vide-greniers.org

www.euroantic.com



Sahra SAOUDI
Publié dans Ekilafrica

À lire

Paris Récup, de Valérie Moreno, aux éditions Parigramme

Tous à la brocante, de Jacqueline Cahen-Sergent, aux éditions Solar

 

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 07:38
La vedette du Club Dorothée, dans les années 80-90, prépare un nouveau spectacle et s'offre l'Olympia du 17 au 19 avril prochain.

dorothee.jpgNostalgique des années Club Dorothée, vous allez être enchanté. La star de vos mercredis après-midi vient d'annoncer, par l'intermédiaire de sa société de production, qu'elle ferait son grand retour sur scène. Après avoir réinvesti le petit écran sur la chaîne de la TNT IDTF1 depuis l'an passé, l'animatrice - aujourd'hui âgée de 56 ans - présentera un nouveau spectacle à l'Olympia, à Paris, du 17 au 19 avril 2010.

Au cours de ces trois représentations exceptionnelles, Dorothée reprendra son inoubliable répertoire (Hou la menteuse, Nicolas et Marjolaine, etc.), mais pas seulement ! Elle proposera également quinze chansons inédites, dont elle assure actuellement l'enregistrement en studio. La sortie d'un nouvel album est ainsi prévu pour le premier trimestre 2010.

Cela faisait environ 14 ans, que Frédérique Hoschedé (le vrai nom de l'animatrice) ne s'était pas produite en concert. Le succès des autres comeback des stars des années 80 ne doit pas être étranger à cette décision. Jacky, Ariane et Les Musclés viendront-ils lui faire un coucou le temps d'une chanson ?

Sahra Saoudi
Publié sur Plurielles.fr

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