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  • : A nous la pige !
  • : Journaliste multimédia, voici quelques uns de mes articles publiés. Ce press book en ligne me permet de vous présenter mon travail. N'hésitez pas à me contacter.
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Synopsis

Journaliste curieuse et force de proposition, je tiens à votre disposition les synopsis suivants. Rédacteurs en chef, si l'un d'eux pourraient être pertinent pour votre média, n'hésitez pas à me contacter.

 

  • Coton-tige : une pollution tombée dans l'oreille d'un sourd ? - Par Perrine ROUX
  • Ortie, la plante à tout faire - Par Perrine ROUX

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À nous la pige !

Bienvenue sur À nous la pige !

 

Je suis journaliste multimédia (print, web et radio).  À nous la pige est mon pressbook en ligne. Vous pourrez y consulter certains de mes articles publiés. Toujours à la recherche de nouveaux sujets et de nouvelles collaborations, j'attends vos propositions et commentaires. Désireuse d'intégrer une rédaction ou un service de communication, je me tiens à votre disposition.

 

N'hésitez pas à me contacter.

Bonne lecture !

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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 08:12

Les rapports entre l'État et certains établissements d'enseignement supérieur privés ne cessent d'évoluer. Aujourd'hui, c'est le projet de contractualisation initié par Jack Lang qui voit le jour. Les établissements bénéficieront d'une hausse de leurs financements, en contre-partie d'objectifs à remplir.


La fin de l'année 2009 a été marquée par la mise en œuvre du processus de contractualisation entre l'État et certains établissements d'enseignement supérieur privés. Le Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche revendique agir dans la lignée du protocole d'accord conclu par Jack Lang en 2002. 58 établissements seraient concernés dont l'Union des établissements d'enseignement supérieur catholique (Paris, Lille, Lyon, Toulouse, Angers), et des écoles de commerce réputées telles que l'Essca, l'Essec, l'Edhec. Un sujet délicat, comme le montre le refus de ces deux dernières de s'exprimer. De son côté,, le ministère affirme ne pas être en mesure, à l'heure actuelle, de communiquer une liste exhaustive des établissements qui entreraient dans le cadre de ce dispositif.


Le principe de la contractualisation

Mis en place sur la base du volontariat, ce processus consistera en des contrats pluriannuels qui attribueront des financements aux établissements, dont le montant total devrait atteindre les 66, 5 millions d'euros. Seuls les établissements reconnus par l'État et dont l'association ou la fondation support est à but non lucratif pourront y prétendre. En contrepartie ils s'engagent à remplir des objectifs, et seront évalués tous les quatre ans par l'AERES (Agence de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur). De l'aveu du Ministère, les critères d'évaluation restent encore aujourd'hui à définir. Les premiers contrats devraient être signés dans le courant du premier semestre 2010.

 

Extrait de l'article publié dans Vie Universitaire n° 135 de février, par Perrine ROUX

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 08:30
Les fans des Disney de la première heure attendaient ça depuis longtemps... Les studios de la célèbre souris tentent enfin un retour aux sources, sous la houlette de John Musker, Ron Clements et John Lasseter

Cela faisait environ cinq ans que l'on attendait ça, le retour de Disney à la 2D et la voilà dans le dernier dessin animé des studios de Mickey : La princesse et la grenouille. Ce dernier né de la famille Disney semble bien vouloir renouer avec la splendeur d'antan, telle qu'on pouvait l'apprécier dans Les Aristochats ou le Livre de la jungle pour ne citer qu'eux.

L'histoire
On embarque donc pour la Nouvelle-Orléans à la rencontre de Tiana, une petite fille noire des quartiers pauvres, qui rêve, comme son père d'ouvrir son restaurant. Elle est amie avec Charlotte, une jeune fille blanche pourrie-gâtée vivant dans les beaux-quartiers, et ne rêvant que de trouver son prince charmant façon conte de fée. Quelques années plus tard, les filles ont grandi, mais leurs rêves et leurs situations n'ont pas changé. Jusqu'au jour où le prince Narveen, débarque en ville. Ce prince fou de jazz et de fêtes, fait des émules auprès des femmes, mais attire la jalousie, notamment du sorcier vaudou, le Dr Facilier, qui va lui jeter un sort et le transformer en grenouille. Comme dans les contes de fée, le prince demande à une belle jeune fille de lui donner un baiser pour qu'il retrouve sa forme humaine. Mais, lorsque Tiana l'embrasse, rien ne se passe... enfin presque. Puisque elle aussi se retrouve transformée en grenouille. Tous deux partent dans le bayou, sur le Mississipi, à la recherche de Mama Odie, seule sorcière à pouvoir inverser le sort. Une aventure qui va vite se transformer en un parcours épique accompagné de personnages aussi drôles que farfelus, tels que Ray, la luciole, ou Louis le crocodile trompettiste, le tout au son du jazz façon Nouvelle-Orléans, et relevé par la cuisine épicée et haute en couleur de Tiana. 

Une parodie selon Disney

Les studios Disney semblent vouloir jouer sur plusieurs tableaux avec la Princesse et la Grenouille. L'humour tout d'abord, en parodiant le conte des frères Grimm Le roi Grenouille, et avec l'intervention remarquée, comme souvent, de personnages secondaires, à la drôlerie piquante. La musique ensuite, en amorçant un léger virage par rapport aux balades sirupeuses, voire dégoulinantes auxquelles nous avait habitués la Souris, grâce à d'entrainantes touches jazzy. Côté technique, les palettes graphiques ont été remisées et les crayons et flip books ressortis pour notre plus grand plaisir, donnant un parfum plus traditionnel et chaleureux. Enfin, le scénario de cette parodie du conte des frères Grimm saupoudrée de clins d'œil et autres allusions aux Disneys les plus célèbres, tels que Bernard et Bianca, ou les Aristochats, fait preuve d'originalité en s'éloignant quelque peu des sempiternelles histoires de princesses froufrouteuses à l'eau de rose. En présentant pour la première fois une "princesse" noire, Disney surfe sur l'actualité et fait couler de l'encre.

Pour autant, on garde une impression en demie-teinte. L'animation laisse souvent à désirer et on a parfois une impression de déjà-vu dans les traits de certains personnages. De plus, malgré les efforts pour allier tradition et modernité, on ne retrouve pas l'âme et la chaleur des bons vieux Disney d'antan.

Mais, l'humour, le jazz, le dynamisme, la loufoquerie, la 2D, le vaudou, et... la cuisine du bayou font un cocktail détonnant à ne pas rater, et à siroter en famille.
Perrine ROUX (www.lepetitjournal.com) lundi 1er février 2010

Le site officiel 
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11 janvier 2010 1 11 /01 /janvier /2010 17:29
Cette saison, le trompe-œil revient en force. Pas question donc de rater le train de cette tendance !

Books-or-not-books-copie-1.jpg

Avec l'étagère livre Self Self Man de couleur turquoise, olive ou rouge, vous pourrez voir des bouquins de partout. Cette pièce a en effet la taille et l'apparence d'un livre et peut en soutenir toute une pile (environ 4 ou 9 kg maxi.). Effet garanti ! 45 €.

A retrouver sur la boutique www.decosphair.fr


Sahra SAOUDI
Publié sur Lemagby.24h00.fr 
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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 09:53
Un an à peine après la création de l'Université de Strasbourg, universités et écoles d'ingénieur d'Alsace continuent à restructurer l'enseignement supérieur. Aujourd'hui, l'Université de Strasbourg, l'Université de Haute Alsace et des écoles d'ingénieurs dont l'INSA se rapprochent pour créer un PRES en 2010.

L'enseignement supérieur dans la région Alsace est en plein chantier depuis plusieurs années. En effet, la fusion des universités Louis Pasteur (médecine et sciences exactes), Marc Bloch (sciences humaines et théologie) et Robert Schuman (droit, sciences politiques, gestion et communication) s'est concrétisée le 1er janvier 2009. Créant ainsi l'Université de Strasbourg (UdS), la plus grande université de France en terme d'étudiants et de personnels, puisqu'elle compte environ 42 000 étudiants, dont 2 % étant de nationalité étrangère, et plus de 5 200 employés. « Nous n'en sommes encore qu'au début de cette fusion » précise Alain Beretz, président de l'Université de Strasbourg. Il avance tout de même les premiers aspect positifs : « L'intégration des trois universités s'est faite rapidement, si bien qu'aujourd'hui l'Université de Strasbourg a son identité propre ». Présidents d'universités et directeurs d'écoles de la région voulaient aller encore plus loin, car « L'Alsace ne doit pas être isolée par rapport aux autres universités françaises et internationales » explique Alain Brillard, président de l'Université de Haute Alsace (UHA). Aujourd'hui, c'est un projet de Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) qui a été retenu. Il réunira l'UdS, l'UHA, l'INSA Strasbroug et d'autres écoles d'ingénieurs, ainsi que des structures de recherches et des collectivités territoriales. Mais, « on connait mal la position des grands organismes de recherche comme le CNRS et l'INRA » précise Marc Renner, directeur de l'INSA Strasbourg. Le projet est d'ores et déjà sur les rails puisque « il est inscrit dans nos contrats quadriennaux. Nous avons d'ailleurs exactement le même paragraphe prévoyant le PRES en 2010 » explique Alain Beretz.

Extrait du magazine Vie Universitaire n°134, par Perrine ROUX
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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 08:45

Le revêtement de façade est la première partie de la maison que l'on voit, en plus de constituer une enveloppe face aux agressions extérieures. Il est donc déterminant pour la qualité de vie et pour l'esthétique de la maison. Matières, couleurs, rendus, capacités techniques... sont autant d'éléments qui guideront votre choix d'habillage.



Photo : Isiplast

isiplast3.jpg

À quoi ça sert ?

Le revêtement est totalement indépendant de la structure de la construction. Ainsi par exemple, une maison à ossature bois peut parfaitement recevoir un habillage en pierres. Dans tous les cas, il remplit trois fonctions. Bien entendu, il se doit de vous plaire, puisqu'il donne son cachet à votre habitation. Le choix de la couleur, de la matière, des finitions sera donc grandement influencé par vos goûts. Pour autant, ils ne seront pas les seuls à déterminer le rendu de l'habillage, car avant même de choisir son revêtement, il faut s'assurer que son esthétique correspond bien à la réglementation locale. En effet, les mairies prescrivent les normes en matière d'esthétique extérieure. Il faut donc se renseigner auprès de la mairie pour connaître les règles en la matière.

Le revêtement de façade est aussi la première barrière de protection. En effet, avec la toiture, il forme l'enveloppe de l'habitation et remplit ainsi deux fonctions : protéger la maison des intempéries, et résister aux chocs. Les matériaux constitueront donc des obstacles contre les agressions extérieures, telles que la pluie, en plus d'assurer les performances thermiques et acoustiques de la maison.

 

Extrait de Maisons d'ambiance construire en bois N°23, par Perrine ROUX


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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 08:39

L'hiver est maintenant bien installé. C'est la période idéale pour se réunir autour de la cheminée pour profiter d'une bonne flambée. Qui dit feu de cheminée dit conduit et entretien. Après son hors-série entièrement dédié au chauffage, Maisons d'ambiance construire en bois vous propose un zoom sur l'un des éléments déterminants de la cheminée : le conduit.

 

Photo : France Turbo

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Quel est son rôle ?

Le conduit de cheminée remplit deux rôles déterminants pour la bonne marche de la cheminée. D'une part, et c'est sa fonction la plus évidente, elle évacue les fumées et gaz produits lors de la combustion. Le conduit doit donc être résistant non seulement aux effets chimiques de ces gaz, mais aussi aux températures qui avoisinent les 200 à 400° C.

D'autre part, le conduit assure l'efficacité du tirage. Le terme tirage désigne le fait pour l'air chaud créé par la combustion de monter dans le conduit. Si le tirage est négatif les fumées sont donc refoulées dans la pièce. Si au contraire le tirage est trop fort, l'air chaud sera aspiré aspiré trop rapidement vers l'extérieur. Pour assurer un bon tirage, il faut donc que le conduit soit en bon état, et d'une section adaptée à la taille de la cheminée ou de l'appareil de chauffage bois (le diamètre du conduit n'est pas inférieur à celui de la buse de sortie de l'appareil de chauffage). En outre, ses dimensions ont elles aussi un impact sur le tirage.

 

 

Extrait de Maisons d'ambiance construire en bois N°23, par Perrine ROUX

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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 08:29

Max et les maximonstres, le dernier film de Spike Jonze, produit par Tom Hanks est enfin sur les écrans. Tiré du livre pour enfants du même nom de Maurice Sendak, il s'annonce comme l'un des films les plus touchants de 2009.  Une adaptation aussi osée que réussie à ne pas manquer !


Quand Spike Jonze, le réalisateur quelque peu décalé de Dans la peau de John Malkovich, s'attaque à l'un des best-sellers modernes du conte pour enfant, cela donne un film aussi esthétique que touchant. Après des mois de travail avec son co-scénariste Dave Eggers, de conception des costumes et de tournage en Australie, Max, un jeune garçon quelque peu solitaire, très imaginatif, mais aussi hyperactif et colérique, et ses amis et sujets les maximonstres ont pris vie devant la caméra. Issus de l'imagination de Maurice Sendak, en 1963, dans le livre pour enfants du même nom, pour lequel il a remporté la médaille Caldecott, ces personnages nous entraînent dans un monde imaginaire, mais aussi introspectif. Dépassant les clichés d'un simple monde onirique et féérique enfantin, Max et les maximonstres décrypte avec justesse et simplicité les pourtant complexes sentiments humains et relations qu'un enfant peut vivre au quotidien. Amitié, colère, amour, tristesse, joie pure du jeu, frustration... tout un panel de sentiments est décrit dans cet univers fantastique au travers de ses relations avec ces êtres imaginaires. Cette adaptation splendide du livre de Maurice Sendak est tout simplement d'une grande beauté qui touche et emporte le spectateur. Pourtant, ce film n'a pas fait l'unanimité auprès des distributeurs hollywoodiens, avant d'être finalement accepté par la Warner Bros. Sage décision au regard des entrées qu'a généré Max et les maximonstres aux États-Unis : 32, 5 millions de dollars générés aux États-Unis lors de la première semaine de diffusion (le budget du film avoisinent les 80 millions de dollars).

 


Un voyage onirique et introspectif
Le jeune Max, est donc un enfant à l'imaginaire très développé, mais étant en proie à des accès de colère et à la sensibilité exacerbée. Suite à une dispute violente avec sa mère, il fuit le domicile familial et s'évade sur une île fantastique où vivent des êtres pas comme les autres : les maximonstres, menés par Carol. Max devient très vite leur roi, et organise des fêtes et parties de jeu endiablées. Mais, il se rend rapidement compte que les maximonstres sont plus compliqués qu'il n'y paraît et qu'ils subissent eux-aussi les affres des tourments humains, et qu'il est loin d'être assez mûrs pour régner sur eux. Ce refuge extraordinaire devient un lieu de réflexion pour Max. Il va y comprendre les causes et les conséquences de son comportement hyperactif et parfois violent envers ses proches. Tout au long du film, une ambivalence est préservée. À l'émerveillement et l'amusement se mêlent une certaine angoisse sous-jacente ainsi qu'une mélancolie omniprésente. Spike Jonze a choisi de mettre l'accent sur l'univers de l'enfance, en ne le présentant pas aussi naïf que beaucoup l'imaginent, ce qui le rend d'autant plus juste et émouvant. Le tout relevé par la bande originale de Karen O and the kids, à l'image de cette ambivalence : émouvante, entraînante, enfantine, rythmée.
Pour plus de réalisme, Spike Jonze a fait le choix de créer des "vrais" maximonstres, qui interagissent vraiment avec Max et ont une personnalité propre, expriment des sentiments grâce à un vrai jeu d'acteur, se meuvent, courent, dansent, rient, pleurent... Max Records, l'acteur qui joue Max est le pilier du film. Son naturel et son talent renforcent encore la qualité de cette adaptation, et permettent au spectateur de s'identifier et de se plonger  avec bonheur au cœur du village des maximonstres. Esthétique, touchant, drôle, émouvant... Max et les Maximonstres est sans aucun doute Le film de cette fin d'année, qui va en faire rêver plus d'un.


Perrine ROUX (www.lepetitjournal.com) mercredi 23 décembre 2009

www.maxetlesmaximonstres-lefilm.com

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 09:18

Choisir parmi les nombreux types d'appareils de chauffage au bois disponibles, signifie trouver le système en accord avec ses besoins. Cheminées, poêles, chaudières... quel sera le votre ?


Recherchez-vous un chauffage d'appoint, un créateur d'ambiance, une solution écologique pour chauffer toute la maison ? Disposez-vous d'espace suffisant pour stocker dans de bonnes conditions assez de combustible bois pour l'hiver ? Désirez-vous bénéficier de l'atmosphère incomparable d'une bonne flambée, ou préférez-vous un système automatisé ? Toutes ces questions vous permettront de trouver le système de chauffage bois qui vous convient.


Avant l'installation

 

Vous avez opté pour un chauffage au bois. Avant de l'acheter et de l'installer, quelques précautions s'imposent. Pour être sûr que l'appareil dans lequel vous allez investir remplira bien ses promesses en matière de performances et d'écologie, il existe un label : Flamme verte. Créée en 2000 conjointement par l'ADEME et les professionnels du chauffage bois, cette certification garantit au consommateur la qualité du chauffage bois, et ouvre droit à un crédit d'impôt.

 

Extrait du Hors-série n°1 consacré au chauffage de Maisons d'ambiance construire en bois, par Perrine ROUX

Photo : Brisach

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7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 08:00

Exit les idées reçues ! Se chauffer au bois ça n'est pas seulement mettre une grosse bûche dans une bonne flambée. L'offre de combustibles est beaucoup plus large et permet un panel étendu de solutions de chauffage.


Bûches, plaquettes, granulés... le bois énergie revêt de nombreuses formes. Ces combustibles sont soit issus de la forêt, soit de l'industrie bois ou encore de déchets de bois. Certains sont destinés à un usage domestique alors que d'autres seront utilisés dans des chaufferies collectives.

  • Les combustibles à usage domestiques


La bûche

Le plus connu et usité de tous les combustibles bois est sans conteste à la bûche. Issue de l'exploitation forestière, elle représente 80 % du bois énergie consommé en France. Elle s'utilise couramment dans les cheminées ouvertes, fermées et inserts, ainsi que dans les poêles, cuisinières à bois et chaudières à bûches, soit environ 6, 75 millions d'appareils dans l'Hexagone. Lors de l'achat, la mesure étalon est le stère, soit un volume apparent extérieur d'1 m³. De manière générale, il ne faut jamais acheter du bois bûche au poids, car il pourrait être trop humide et donc coûter plus cher car plus lourd, et serait impropre à une utilisation immédiate. En outre, le prix du stère oscille entre 40 et 80 € selon la taille des bûches (entre 33 cm et un mètre de long) et la situation géographique. Le pouvoir calorifique de la bûche est d'environ 1 200 à 1 800 kWh. Attention toutefois, il faut veiller à utiliser du bois bien sec (à 20 % d'humidité). Le mieux est d'opter pour du combustible labellisé NF bois de chauffage qui permet d'avoir toutes les informations nécessaires (provenance, essence...), ainsi que l'assurance d'une bonne qualité. Mais il est aussi possible de se fournir auprès d'un particulier ou d'un domaine public autorisé, à condition de ne pas avoir peur de manier la hache et des rondins parfois très lourds.


Extrait du hors-série de Maisons d'ambiance construire en bois consacré au chauffage, par Perrine ROUX.


Quelle essence pour mon chauffage bois ?

Quand on se chauffe au bois on ne jette pas n'importe quelle essence dans le feu. Certaines vont encrasser les conduits et produire plus de fumées, comme le sapin, d'autres éclatent lors de la combustion comme le châtaignier, d'autre encore ont un trop faible rendement, comme le peuplier. Mieux vaut donc opter pour des feuillus durs comme le hêtre, le merisier, le chêne ou le tremble. Certains résineux et feuillus tendres peuvent aussi être employés, comme l'épicéa, le pin, le mélèze, ou le saule. Les résineux montent plus vite en température que les feuillus, mais, cela implique que le feu doit être rechargé plus souvent.

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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 08:00

Depuis deux ans, les trois universités de technologie françaises travaillent à un rapprochement. L'objectif, une meilleure visibilité au niveau national et international. Une question se pose aujourd'hui, ce rapprochement va-t-il prendre la forme d'un renforcement de la coopération ou d'une fusion des universités ?


Les trois universités de technologie de France, Compiègne, Belfort-Montbéliard et Troyes, travaillent actuellement à un projet de rapprochement. Malgré des rumeurs circulant depuis plusieurs mois évoquant une fusion des trois UT, le projet est encore aujourd'hui au stade embryonnaire, les modalités de ce rapprochement n'étant pas encore tranchées. « À Compiègne, nous sommes actuellement en procédure de renouvellement du poste de président de notre université » précise Louis Côté, président par intérim de l'UTC. « Aucune décision définitive ne sera prise avant la fin de cette période de transition. Mais cet état de fait ne nous empêche pas d'avancer sur ce projet » rajoute-t-il. La date de présentation du projet de rapprochement au Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, initialement prévue pour le courant du mois de décembre, n'est donc aujourd'hui plus d'actualité. « Nous ne pouvons avancer aucune date, puisqu'il existe un problème de leadership durant la période d'intérim du directeur de Compiègne » explique Christian Lerminiaux, directeur de l'Université de technologie de Troyes. Ronan Stéphan, ancien directeur de l'UTC, a été nommé Directeur général pour la recherche et l’innovation en septembre dernier, « ce qui ralentit pour l'instant l'avancement de notre projet de rapprochement » rajoute Pascal Fournier, directeur de l'Université de technologie de Belfort-Montbéliard.

Extrait du magazine Vie universitaire n° 133, par Perrine ROUX

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