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  • : A nous la pige !
  • : Journaliste multimédia, voici quelques uns de mes articles publiés. Ce press book en ligne me permet de vous présenter mon travail. N'hésitez pas à me contacter.
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Journaliste curieuse et force de proposition, je tiens à votre disposition les synopsis suivants. Rédacteurs en chef, si l'un d'eux pourraient être pertinent pour votre média, n'hésitez pas à me contacter.

 

  • Coton-tige : une pollution tombée dans l'oreille d'un sourd ? - Par Perrine ROUX
  • Ortie, la plante à tout faire - Par Perrine ROUX

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À nous la pige !

Bienvenue sur À nous la pige !

 

Je suis journaliste multimédia (print, web et radio).  À nous la pige est mon pressbook en ligne. Vous pourrez y consulter certains de mes articles publiés. Toujours à la recherche de nouveaux sujets et de nouvelles collaborations, j'attends vos propositions et commentaires. Désireuse d'intégrer une rédaction ou un service de communication, je me tiens à votre disposition.

 

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Bonne lecture !

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31 mai 2007 4 31 /05 /mai /2007 09:12
Le musée Jacquemart-André de Paris accueille jusqu'au 26 août une exposition inédite et exceptionnelle : les masques de Chine des rituels du Nuo. Un voyage mystique et initiatique au cœur des coutumes chinoises 

Dieux et démons prennent vie dans une atmosphère mystique (photos Perrine Roux)

Le musée Jacquemart-André à Paris accueille une centaine de masques anciens chinois utilisés pour les rituels du Nuo. Cette tradition plusieurs fois millénaire, signifie l’expulsion du démon.
Le Nuo a beaucoup évolué à travers l’histoire, pour devenir aujourd’hui un théâtre d’exorcisme. Les hommes se parent de masques représentant divinités et démons, mettant en scène l’épopée des Dieux contre les démons pour les chasser. Selon les Chinois, démons et fantômes sont la cause des maladies et autres fléaux.

Durant la révolution culturelle chinoise, une grande partie de ces objets a été détruite, car considérée comme religieuse. La reconnaissance officielle s’est faite attendre jusque dans les années 80. Aujourd’hui ce patrimoine culturel est protégé par le gouvernement chinois et l’UNESCO.
Exposés pour la première fois en France, les masques de Nuo font l’objet d’une scénographie originale et exceptionnelle au musée Jacquemart-André jusqu'au 26 août.
Six salles sont dédiées à ces rituels ancestraux. Au fil des pièces, on apprend que ces masques, à l’origine objets utilitaires des rites de sorcellerie, évoluent vers une forme d’expression artistique au travers du théâtre de Nuo.


Voyage mystique à la rencontre de la Chine
Après un couloir sombre, éclairé par un seul lampion chinois, on pénètre dans des salles au décor très étudié. Tantôt noire, puis orange et bleue, la couleur des murs crée une atmosphère propice au voyage dans le temps et l’espace, et à la découverte spirituelle. Les masques, aux traits étudiés et féroces, baignent dans un rayon de lumière.
Leur destination divine ou démoniaque originelle n’en n’est que plus évidente. On se laisse transporter à l’origine de ces coutumes dans l’Antiquité, voire même avant selon les experts. Les masques représentaient alors des animaux. Sculptés dans le bois (saule, peuplier ou camphrier), ils datent pour les plus vieux du XVIIème siècle.
Dans une salle à l’ambiance prenante, on découvre l’empreinte laissée par le taoïsme dans le panthéon des divinités. Puis, c’est l’influence Ming qui est exposée, avec l’arrivée de personnages à traits humains, et l’apparition du théâtre de Nuo. Ensuite, le visiteur découvre d’étranges poupées, utilisée dans les rituels de fertilité. C’est une salle orange, couleur des robes des moines bouddhistes, qui expose l’influence de cette religion. De nouveaux personnages s’intègrent au Nuo, comme un bonze ou le juge Bao. Les masques ont alors une expression moins féroce qu’à l’origine.
Enfin, la dernière salle est consacrée à la théâtralisation de Nuo, avec la naissance du théâtre d’exorcisme, encore vivant dans certaines régions de Chine aujourd’hui. Pour renforcer l’aspect pédagogique, des extraits du film La capture du petit démon sont projetés. Ils nous permettent de voir une cérémonie de Nuo comme on la pratique aujourd’hui.

Un voyage envoûtant, au milieu des dieux et démons de la culture chinoise.
Perrine Roux. (www.lepetitjournal.com) jeudi 31 mai 2007

Musée Jacquemart-André
158 boulevard Haussmann 75008 Paris
Tél : 01 45 62 11 59
http://www.musee-jacquemart-andre.com
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11 mai 2007 5 11 /05 /mai /2007 09:16
La nouvelle mode s’appelle "smoothie". Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce nom étrange ? Ce n’est ni un vêtement, ni un accessoire… C’est la boisson tendance par excellence. Des fruits, des fruits et encore des fruits !

Le smoothie, une boisson rafraîchissante, saine et tendance (photo LPJ)

Venu d’Angleterre, le "smoothie" a traversé la Manche pour s’implanter dans l’Hexagone. Le pari semble réussi, puisqu’on en trouve de plus en plus sur les cartes des bars et restaurants, ainsi que dans les supermarchés.
Mais le smoothie, c’est quoi exactement ? Ce n’est pas qu’un simple jus de fruit. Le secret de sa réussite c’est son onctuosité. Les fruits ne sont pas pressés, ils sont mixés au blender. C’est ce qui rend cette boisson si mousseuse et crémeuse. Sa composition en fait aussi une star du rayon frais : des fruits et uniquement des fruits.
Pas de sucre, ni de colorant, ni de conservateur ou autre additif. C’est juste une boisson colorée avec des fruits qui fait fureur dans les milieux branchés. Le smoothie est non seulement tendance, mais c’est aussi une bonne façon de manger des fruits, qui sont parmi les aliments les plus sains.


Une mode à acheter ou à faire chez soi
La tendance vient d’Angleterre où une marque a sorti le smoothie de l’ombre. C’est en 1998, lors d’un festival de musique en Grande Bretagne, que la marque Innocent est apparue pour la première fois. Des fruits mixés, aucun conservateur, ni additif ou colorant, seulement une légère pasteurisation. La marque mise sur la qualité des produits, et invite même le consommateur à informer la compagnie s’il trouve un fruit qui a meilleur goût.
Bien entendu tout cela a un coût, c’est pour cela qu’un smoothie Innocent est actuellement encore peu abordable (environ 2.70 euros la bouteille de 250ml). Aujourd’hui, Innocent a fait du chemin, et a remporté en France en 2006, le prix de la "Meilleure boisson". Mais la marque garde une certaine simplicité et mise sur la proximité avec le client. Le site Internet en est la preuve avec ses blagues et son look agréable.

Perrine Roux (www.lepetitjournal.com) vendredi 11 mai 2007

Comment le faire à la maison ?
Le smoothie est très simple à réaliser à la maison. Il suffit d’avoir un robot mixer. Par exemple, pour un smoothie banane framboise, il faut mettre dans le blender deux bananes coupées, 300 g de framboises, de la glace pilée, et un yaourt. Mixer le tout jusqu’à obtention d’une consistance mousseuse, puis se régaler. Pour les recettes, laissez libre cours à votre imagination ! Pourquoi ne pas rajouter une feuille de menthe, un légume, de l’eau gazeuse, du tofu… ? Les possibilités sont infinies. C’est aussi ce qui fait son charme. Cette boisson devient une sorte d’accessoire qui s’adapte aux envies, tout en gardant son aspect très diététique.
Saveur, onctuosité, diététique, couleur, créativité et tendance, c’est le cocktail réussi du smoothie ! (LPJ - 11 mai 2007)

Voir aussi
http://www.innocent.fr
http://www.mangerbouger.fr
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9 mai 2007 3 09 /05 /mai /2007 08:39
14 ans après la sortie de la Twingo, Renault lance la nouvelle Twingo. Elle garde les qualités de l’ancienne avec de nombreux atouts supplémentaires. Les amateurs de la petite citadine ne devraient pas être déçus

La dernière née de Renault : la nouvelle Twingo (photo : P. Curtet pour Renault)


Renault veut renforcer sa position sur le marché de la petite citadine en lançant en juin la nouvelle Twingo. Le principe développé par le constructeur est simple : prendre un produit qui marche et l'adapter. Renault ayant vendu 2,4 millions de Twingo depuis sa sortie en 1993, il suffisait de l’améliorer...
La petite nouvelle revendique des prestations de plus haute qualité inspirées des berlines, un caractère tonique et dynamique, et surtout, une adaptabilité à la vie et aux envies de chacun.

Sous le capot, le constructeur propose quatre motorisations, trois essences et un diesel. Un point d’honneur est mis à respecter l’environnement, et la voiture est recyclable à 85%.
Côté sécurité, là encore les efforts sont accrus. La tenue de route a été améliorée, ainsi que la maniabilité et la visibilité. Pour encore plus de sécurité la Nouvelle twingo est équipée d’ABS, et d’une aide au freinage d’urgence, ainsi que de deux à six airbags. Enfin la structure a été renforcée pour mieux parer aux chocs frontaux et latéraux.


La taille d’une petite, les qualités d’une grande
Pour s’adapter à vos envies, la Nouvelle twingo s’habille et s’équipe selon vos désirs. Six ambiances sont disponibles et personnalisables avec les options "à la carte", avec par exemple plusieurs gammes d’habillages extérieurs, ou encore des rangements astucieux qui se placent dans le cendrier ou le porte gobelet (Make-up box et Organizer Box). Les équipements disponibles en option, sont issus des catégories de véhicules supérieurs, comme le limitateur de vitesse, le capteur de pluie et de lumière, les 4 sièges indépendants.
Renault a misé sur le confort et l’espace intérieur, tout en gardant les mensurations d’une petite, avec seulement 170 mm de plus que la Twingo. Le coffre offre 165 à 285 dm3 en quatre places et jusqu’à 959 dm3 en deux places. Dans l’habitacle la vision est panoramique, et offre plus de place pour s’installer confortablement. Comme dans une grande on trouve 11 rangements, dont la plupart sont facilement accessible par le conducteur. Ce qui représente 28,4 litres de rangements, soit 16 litres de plus que sa grande sœur.
Côté look, Renault a misé sur l’aspect joyeux et pétillant. Masque principal métallisé, bouclier avant sans grille et poignées de portes ergonomiques, des détails de design qui confèrent à la nouvelle Twingo une bonhomie générale.
Renault saura-t-il remplir sa mission d’asseoir la renommée de la Twingo et de toucher une nouvelle clientèle jeune urbaine à la vie nomade ? Rendez-vous le mois prochain pour le premier bilan.
Perrine Roux (www.lepetitjournal.com) mercredi 9 mai 2007

En savoir plus :

http://www.renault.fr
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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 09:14
Le printemps est synonyme d’allergies pour beaucoup d’entre nous. Mais certains malades en souffrent tout au long de l’année. L’allergie, qui se développe en France, est une pathologie à ne pas prendre à la légère

L’allergie est une maladie à ne pas prendre à la légère (photo : www.alerteallergie.com)

Le printemps ne représente pas pour tout le monde une renaissance de la nature, mais plutôt l’arrivée du pollen. Allergène aérien redoutable, il provoque une réaction d’hypersensibilité chez certains, comme des rhinites ou de l’asthme.
Mais le corps peut avoir des réactions immunitaires excessives quelle que soit la saison. Même si les symptômes d’une allergie peuvent paraître bénins, il ne faut pas les ignorer car leurs conséquences sur la santé peuvent parfois être très graves.

Le corps est protégé de l’extérieur par la peau et les muqueuses. Certaines substances peuvent pénétrer ces barrières et provoquer des allergies, car l’organisme les aura identifiées comme des adversaires.
On constate en France une hausse considérable des personnes allergiques. En 1980, on enregistrait environ 10% d’allergiques, aujourd’hui ils sont entre 20 et 30%. Pollution extérieure et intérieure, hausse du nombre d’animaux de compagnie et autres aliments industriels en seraient la cause.

Vivre avec ses allergies
Il existe trois types d’allergènes : les aériens, les alimentaires et les chimiques. On leur attribue des symptômes comme l'eczéma, l’asthme, la conjonctivite, les vomissements, ou encore l’anémie. Mais les personnes victimes d’hypersensibilité peuvent aussi souffrir de crises d’allergie allant du vertige à la gêne respiratoire, et dans les cas les plus graves l’œdème de Quincke ou le choc anaphylactique. Il faut savoir que l’asthme, par exemple, tue environ 2000 personnes par an en France. En cas de crise, le malade doit donc être emmené rapidement aux urgences.
Avant toute chose, il faut consulter un médecin allergologue, pour que celui-ci détermine quelles sont les substances allergisantes et choisir un traitement adapté. Dans certains cas une désensibilisation, méthode éprouvée à visée préventive et curative, est possible. Mais la meilleure solution est de rester éloigné de la cause de l’allergie.
À l’heure actuelle, pour environ 15 millions d’allergiques en France, on compte à peine plus de 1800 allergologues, dont seulement 26% pratiquent exclusivement cette spécialité. 28 départements français ne comptent que 2 allergologues et il n’y en a aucun en Haute-Loire.
Pour sortir cette pathologie de l’ombre, la première journée de l’allergie a été organisée en France samedi avec pour but d'informer le grand public sur l’allergie et ses dangers. L’allergie devient donc aujourd’hui l’une des grandes préoccupations de santé publique.
Perrine Roux (www.lepetitjournal.com) mercredi 25 avril 2007

En savoir plus :

http://www.allergiques.org
http://www.prevention-allergies.asso.fr
http://www.alerteallergie.com
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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 08:47
Le thé est la deuxième boisson la plus consommée au monde après l’eau. Coup de projecteur sur ce breuvage pas comme les autres

Le thé, un breuvage aux mille vertus et aux milliards de consommateurs (photo LPJ)

Six français sur dix consomment régulièrement du thé. C’est la deuxième boisson chaude la plus bue dans l’Hexagone. et sa consommation est en hausse. En 1960, environ 3.000 tonnes étaient vendues dans l’année, pour passer à 15.000 tonnes aujourd’hui.
Il existe plusieurs sortes de thé. Le thé noir qui représente 80% des achats dans les paniers français. En parallèle, le thé vert commence à être de plus en plus apprécié. La nouvelle tendance qui émerge aujourd’hui, ce sont les thés aromatisés. Aux fruits, caramel, vanille, ou aux plantes, il y en a pour tous les goûts... Le marché est détenu par les trois grandes multinationales qui se partagent 85% du gâteau mondial. La marque Lipton remporte la mise avec plus de la moitié du volume des ventes en France.

Mais le thé n’est pas uniquement un business mondial.  

Les bienfaits prouvés du thé
De nombreuses études ont montré ses effets sur la santé. La première utilisation du thé remonte à plus de 5000 ans en Chine. Cette plante était aussi utilisée en médecine sous forme de pâte pour lutter contre les rhumatismes. Aujourd’hui, la science a découvert de nombreuses autres vertus à ce breuvage.
On trouve dans le thé trois composants : la caféine, la théophylline et la théobromine. La caféine se diffuse très lentement dans le corps, ce qui permet de rester éveillé et concentré, sans ressentir l’effet excitant du café. La théophylline permet aux veines et à l’artère coronaire de se dilater, ce qui améliore le débit sanguin. Enfin, la théobromine stimule l’activité rénale et favorise l’élimination.
Côté beauté, les tanins contenus dans le thé resserrent les pores de la peau, et donnent des cheveux lisses et brillants.
Un petit conseil, pour faciliter la digestion et l’élimination des matières grasses, il faut boire du thé 40 minutes après un repas. Mais halte aux idées reçues, le thé vert ne fait pas maigrir. Il aide seulement à éliminer. Alors chaud ou froid, noir, vert ou blanc, nature, à la menthe ou aux fruits : plus d’hésitations, dans le thé tout est bon !
Perrine Roux (www.lepetitjournal.com) lundi 16 avril

http://www.cercleduthe.com
http://www.educspe.com/the/
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5 avril 2007 4 05 /04 /avril /2007 08:55
Un nouveau sport a débarqué sur les pentes neigeuses. Depuis l’hiver dernier, on peut voir de drôles de skieurs, suspendus à des voiles de parapentes. Avis aux amateurs de vitesse et d’adrénaline...
Glisse, vol et adrénaline au programme du speed flying. (Photo : www.lesailesdumontblanc.com)

Le speed flying, ou speed riding, est une discipline sportive émergente dans les stations de ski. Sport extrême par excellence, il allie le ski et le parapente. Une paire de ski aux pieds, une voile de parapente (entre 10 et 15 m2) au bout des bras, un casque sur la tête, et c’est parti. Le rideur dévale les pentes au ras du sol, en faisant des sauts pouvant atteindre les 10 mètres de hauteur, le tout entre 70 et 100 km/h.
Très différent du kitesurf, le speed flying ne se sert pas du vent, mais de la vitesse pour donner de la portance à la voile. Le sport se compose de trois disciplines: la descente, le slalom et le freeride.

Le parapentiste François Bon est l’un des concepteur du speed flying, mais aussi l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de parapente. Il a d’ailleurs été membre de l’équipe de France de voltige-parapente de 1999 à 2005. L’idée de créer ce sport lui est venue de son observation des parapentistes sautant en haute montagne, et frôlant les pentes à l’approche des reliefs. 4 ans ont été nécessaires pour mettre au point le speed flying.

Voler sur les pistes enneigées
Au départ, ils utilisaient des voiles de parachutes, mais ce n’était pas assez précis au niveau du pilotage, et elles ne se gonflaient pas suffisamment. Une fois l’activité développée, ils se sont mis en relation avec la Fédération Française de Vol Libre et la Fédération Aéronautique Internationale. Le but, proposer des statuts pour le speed flying, ainsi qu’une spécification dans le brevet d’Etat de parapentiste pour pouvoir enseigner.
L’apprentissage de cette discipline se fait sur des pentes écoles. On y apprend la maîtrise du gonflage de la voile et du guidage. Une fois ces éléments maîtrisées, en avant pour l’aventure en hors piste. Pour se lancer la connaissance du ski en hors piste et sur toutes les conditions de neige est nécessaire. Mais nul besoin d’avoir une expérience en parapente mais un certificat médical d’aptitude au parapente est nécessaire. L’activité est ouverte aux personnes âgées d’au moins 14 ans.

On va où ?
À Chamonix, l’école de speed flying, Les ailes du Mont-blanc, propose des formations pour les débutants d’une demi-journée (70 euros) ou d’une journée (90 euros). Ils proposent aussi des formations de perfectionnement d’une journée en hors-piste (110 euros).
Les stations à la pointe de cette discipline depuis son apparition l’hiver dernier sont Val Fréjus et les Arcs. La première grande compétition de la discipline a d’ailleurs eu lieu en mars dernier aux Arcs. Le Gin Speed Flying Pro a été remporté par le français Loïc Jean-Albert.
Tous en piste et vive la glisse en vol !
Perrine Roux (www.lepetitjournal.com) jeudi 5 avril 2007
Pour en savoir plus
http://www.lesailesdumontblanc.com
http://www.lesarcs.com
http://www.valfrejus.com
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2 avril 2007 1 02 /04 /avril /2007 08:49

Toyota se lance dans le marché des berlines compactes et familiales. Auris se revendique comme une voiture plaisir avant tout. Coup de projecteur sur une auto qui se veut en or

Auris, la nouvelle berline compacte de Toyota (photo Toyota)

Toyota lance en France au mois de mars sa dernière née, Auris. Le constructeur japonais s’attaque ainsi au rude marché des berlines familiales et compactes. Le maître mot de la petite nouvelle est satisfaction. Plaisir des yeux par sa silhouette originale toute en rondeurs. Plaisir des mains par la douceur inimitable de son habitacle, plaisir de conduire et d’être passager… Toyota promet la qualité de l’or pour sa dernière berline. C’est d’ailleurs pour cela que les concepteurs ont choisi Auris comme nom, qui signifie or en latin. La ligne de Auris a été créée en Europe, pour l’Europe. Designée à Sophia Antipolis, Auris brise les lignes classiques des berlines compactes. Dynamisme et sportivité sont les caractéristiques que l’on remarque au premier regard, du fait de sa silhouette à la fois courte et haute. Selon les designers, Auris est l’exemple type du déséquilibre parfait, ce qui la rend d’autant plus originale.

Priorité au plaisir
L’approche de création de cette voiture est elle aussi originale. Toyota a décidé de dessiner Auris en partant des conducteurs et des passagers. De ce fait, l’espace et le confort sont optimisés. Ainsi, la hauteur de pavillon est suffisante pour permettre un bon dégagement au niveau de la tête et des épaules. L’espace d’assise avant/arrière a été agrandi, et la position du volant reculée. L’ambiance dans l’habitacle a été travaillée afin qu’Auris soit très silencieuse, mais aussi douce au toucher. Le système Toyota easy flat, qui permet d’escamoter les sièges d’un seul geste, confère un aspect très pratique à la petite citadine dotée d’un coffre de 345 litres.
La sécurité n’a pas non plus été oubliée. La structure est plus résistante et apporte notamment une sécurité passive en répartissant l’énergie de la collision. De plus, la Auris compte 9 airbags, dont un placé aux genoux du conducteur. La structure frontale a été remaniée pour amoindrir le risque de blessures aux piétons. Auris a ainsi reçu 5 étoiles au test Euro NCAP. Pour qu’elle reste une voiture plaisir, les coûts d’utilisation sont abordables. Assurance, consommation et intervalles d’entretien, tout est fait pour réduire au maximum les frais. Côté conduite, le plaisir est encore le maître mot. La console centrale en forme de pont donne la sensation de se trouver dans un cockpit. Les leviers de frein à main et de vitesse y sont totalement intégrés. Ils sont placés pour tomber facilement sous les doigts.
À l’extérieur, c’est le plaisir des yeux. Sa silhouette courbe et aérodynamique la rend originale. Impression encore accentuée par le choix des 9 teintes de carrosserie, dont l’inédite Bleu Cèdre. Sous le capot, ce sont 5 types de motorisations dont deux diesels qui sont proposés, et 3 boites de vitesses. Tous respectent l’environnement, car ils sont conforment aux normes de dépollution Euro IV. Toyota a utilisé des matériaux et techniques qui réduisent l’impact sur l’environnement, et ce tout au long du cycle de vie de la voiture.
Auris recèle bien d’autres qualités de série ou en option, qui lui permettent de revendiquer la préciosité et la qualité de l’or.
Perrine ROUX. (
www.lepetitjournal.com) lundi 2 avril 2007

http://www.toyota.fr
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23 mars 2007 5 23 /03 /mars /2007 08:51

C’est le retour en force de la déco et du cocooning. Pour un intérieur qui respire l’harmonie et la sérénité, tout en étant tendance, il suffit de marier la mode avec une autre grande tendance, le feng shui

Du feng shui dans la déco pour être bien chez soi (photo Perrine Roux)

La décoration d’intérieur est en plein boom. Magasins, publications, et émissions de télé lui sont dédiés. L’important aujourd’hui c’est d’être bien chez soi.
Aussi, i
l existe une solution pour décorer son intérieur de façon saine et harmonieuse : le feng shui. Littéralement, cela signifie "Vent et Eau". Cet art millénaire chinois explose en occident depuis quelques années.
Basé sur les théories des cinq éléments -terre, feu, eau, métal et bois, et du yin yang, il consiste à optimiser les flux de l’énergie vitale, le chi. Il ne s’agit pas d’un art du déplacement, mais d’une modification des conditions énergétiques. Pour ceux qui ont envie de repenser totalement leur intérieur en fonction de ces règles ancestrales, il est donc très conseillé de faire appel à un expert. Pour les autres, il faut y aller par petites touches, sans cela toute la maison serait à reconstruire.

Déco feng shui, mode d'emploi
Une déco feng shui nécessite de connaître certaines bases. Mais il ne faut pas oublier que cet art est fondé sur le respect de soi. Cette médecine de la maison repose sur le bon sens, et permet d’avoir une déco fidèle aux goûts de chacun, qui favorise le bien être. La déco feng shui
Avant de se lancer, il faut jeter tout ce qui ne sert à rien. Le désordre et les objets inutiles sont une sorte de pollution de l’intérieur et empêchent la bonne circulation du chi.
Dans le salon, considéré comme le cœur de la maison, la déco doit être chaleureuse. Tout doit être fait pour le rendre lumineux. Objets, tableaux et fleurs y sont de couleurs gaies et positives. Le canapé et les fauteuils doivent être placés autour de la table, et ne pas tourner le dos à l’entrée ou à la cheminée pour permettre une meilleure circulation du chi. Dans la chambre, le yin, c’est-à-dire l’apaisement, doit être favorisé. Pour cela, mieux vaut opter pour un décor dépouillé. Là encore le placement des meubles influe sur la circulation de l’énergie. Le lit est placé contre un mur sans fenêtre, et les pieds ne doivent pas être dirigés vers la porte. Celui-ci ne doit pas se refléter dans un miroir, pour éviter que les énergies négatives évacuées par le corps pendant le sommeil ne soient renvoyées.
Aquarium, plantes, fontaine, et lustre doivent être bannis de la chambre. La salle de bain est une pièce où beaucoup d’énergie circule. Le mieux est donc qu’elle soit placée au fond de la maison. Pour harmoniser la déco avec l’élément eau de la pièce, opter pour des couleurs vert et bleu. Enfin, côté cuisine, le placement des meubles est important car plusieurs éléments s’y côtoient. Par exemple, la cuisinière ne doit pas être placée à côté ou en face de l’évier. Dans cette pièce, éviter de mettre du violet qui ne donne pas envie de cuisiner.
Couleurs, textures, matières, placements des meubles et des objets… Tout pour une vraie déco feng shui et enfin se sentir vraiment bien chez soi.
Perrine ROUX. (
www.lepetitjournal.com) vendredi 23 mars 2007  

http://www.fengshuizone.com
http://www.lamaisonfengshui.com
http://www.fengshui-village.com

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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 08:41

Amoureux de la montagne et des sports extrêmes, les cascades de glaces sont faites pour vous. Parois vertigineuses et scintillantes sont prêtes à être escaladées le temps d’un week-end...

Grimper une cascade de glace, un sport à sensations (Photo : Bernhard Witz)
La cascade de glace est une discipline dérivée de l’escalade. Elle consiste à grimper le long d’une formation glacière plus ou moins inclinée comme sur des cascades gelées, parois de glacier, goulottes ou couloirs… Ce sport à la fois technique et accessible à tous emmène le grimpeur dans un monde féerique aux décors gelés et étincelants. Toutefois, les séracs sont déconseillés pour pratiquer l’escalade, car ils sont très fragiles.
La progression se fait grâce aux pointes frontales des crampons fixés sous les chaussures, et à l’aide de piolets de tractions à la forme spécifique et adaptée à ce sport. Encordé et sécurisé par un baudrier, le grimpeur ouvre ou suit une voie assurée par des points d’ancrages réalisés grâce à des broches à manivelle spécialement conçues pour la glace.
La spécificité de cette discipline réside dans le fait que la glace est formée d’eau et non de neige, ce qui la rend beaucoup plus dure. Cet aspect qui permet de développer la technique est un sport idéal pour débuter ou se perfectionner en escalade. De plus, l’éventail des difficultés est très vaste, la nature offrant diverses formations et inclinaisons qui permettent à chacun de trouver un spot adapté à son niveau. Bien entendu, comme il s’agit d’un sport de haute montagne, il faut le pratiquer encadré d’un guide de haute montagne diplômé. Il ne faut pas non plus oublier de s’assurer pour les sports de montagnes avant de s’encorder.

Les spots à ne pas manquer
En France, on trouve plusieurs sites et clubs où pratiquer ce sport : le Briançonnais, l’Oisans, le Champsaur Valgaudemar, la Maurienne, la Tarentaise, la vallée de Chamonix, les Pyrénées et le Cantal. Mais la véritable Mecque de la cascade de glace reste la vallée de la Cogne, en Italie.
À Chamonix, plusieurs formules sont proposées pour passer un ou quelques jours au contact de cet élément gelé. Des stages de trois jours sont organisés pour débutants ou confirmés. Le premier jour, tout le monde se retrouve à 8 heures 30 à la Compagnie des guides pour une première prise de contact. Matériel et équipement de chacun sont vérifiés minutieusement. Ensuite, c’est le grand départ pour un premier rendez-vous en tête à tête avec la cascade de glace. Mise à niveau et apprentissage des techniques d’assurage et de sécurité rythmeront la journée. Les deuxième et troisième jours on s’attaque vraiment à la discipline, sur des spots de Chamonix et de la Cogne. Le programme est adaptable en fonctions des attentes de chacun. Le tarif est de 480 euros par personnes pour les débutants, et de 580 euros pour les confirmés. Il comprend l’encadrement par le guide, les pique-niques du déjeuner, le matériel, le transport et les remontées mécaniques.
Il ne reste plus qu’à se lancer avant que la nature ne fasse son œuvre et que la glace ne fonde…
Perrine Roux. (
www.lepetitjournal.com) 15 mars 2007

http://www.ffme.fr
http://www.chamonix.com

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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 08:37

Volvo s’attaque à un nouveau concept, la voiture compacte haut de gamme. La C30 est la plus petite voiture du constructeur qui vise une clientèle jeune et urbaine

La C30 une citadine sportive haut de gamme (Photo : Volvo Cars)
Depuis novembre 2006, le marché des voitures compactes s’est agrandi avec la venue de la Volvo C30. Dynamisme, sécurité, luxe et confort sont les atouts revendiqués par cette petite citadine. Volvo vise ainsi une nouvelle clientèle jeune. Le constructeur estime devoir produire environ 65.000 C30 par an.
Lignes fuyantes du toit, feux arrière en forme de fer à cheval, le design sportif risque de séduire tant les hommes que les femmes au mode de vie trépidant, et en phase avec les dernières tendances.
Volvo propose une gamme de neuf motorisations, cinq essences et trois diesels. Ses caractéristiques physiques la rendent très réactive et permettent des accélérations impressionnantes. Elle n’est pas seulement performante, elle est aussi économe, puisque pour la version diesel 1,6D, elle ne consomme que 4,9 litres au cent. Côté environnement, ce modèle ne rejette que 129g de CO² par kilomètre.
La C30 se revendique comme une voiture plaisir. Une trois portes qui permet à quatre adultes de voyager sans se contorsionner, un véritable défi que Volvo a voulu relever. Les sièges avant sont ergonomiques, les passagers arrière bénéficient de sièges individuels avec accoudoirs pliables. Le toit et l’intervalle entre l’avant et l'arrière laissent suffisamment d’espace, même pour les personnes de grande taille.
Confort, design et options
On peut personnaliser l’habitacle grâce à différentes couleurs de sellerie : noire, rouge ou bleue, avec des tapis ocres et rouges, ou encore quatre versions de console centrale. Volvo innove d’ailleurs en proposant une couleur inédite, le "Blanc virtuel", venues directement des mondes du sport et de l’informatique. On peut opter pour la version "Aluminium surf", avec ses incrustations au motif de vagues. L’extérieur aussi est personnalisable grâce au kit de carrosserie.
La C30 est vendue avec climatisation et filtre anti-pollen de série. Mais on peut ajouter en option un outil de contrôle du niveau de monoxyde de carbone qui ferme les orifices d’aération à partir d’un certain seuil, ou encore des filtres à charbon actif. Le système audio est aussi sophistiqué que sur les gabarits supérieurs de Volvo. À partir du printemps un adaptateur IPod et USB sera disponible.
La C30 propose de nombreuses autres options, comme le système vidéo qui annule l’angle mort, la boite six vitesses, la boite automatique séquentielle Géotronic cinq vitesses, ou le filtre à particules pour les diesels. Dès le printemps prochain, la C30 pourra être équipée d’un moteur inédit, le Fléxifuel, qui fonctionne notamment avec du bio-éthanol, qui permet une réduction d’environ 70% des rejets de CO².
Face à tant d’atouts, on cherche la petite bête… Peut-être le prix entre 21.050 et 31.950 euros.
Perrine ROUX (lepetitjournal.com) 27 février 2007

http://www.volvocars.fr

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