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  • : A nous la pige !
  • : Journaliste multimédia, voici quelques uns de mes articles publiés. Ce press book en ligne me permet de vous présenter mon travail. N'hésitez pas à me contacter.
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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 09:26

Les petits pots pour bébé ont envahi nos grandes surfaces. Mais ne vaut-il mieux pas se tourner vers le bio ou les bonnes vieilles purées maison ?

Des rayons réservés uniquement aux petits pots. (Photo : Perrine Roux)
Les petits pots pour bébé constituent une bonne solution pour les parents actifs qui n’ont pas toujours le temps de préparer des purées à base de fruits, légumes, viandes ou poissons frais. Mais certains culpabilisent de ne pas faire des repas maison pour leur petit bout de chou, et de donner une alimentation industrielle.
Dans les premiers mois de la vie, le système de défenses immunitaires de bébé n’est pas encore totalement développé. L’organisme ne sait pas encore éliminer les résidus toxiques présents dans l’alimentation. Le bio est donc une bonne alternative. Les produits estampillés du logo AB, délivré par le ministère de l’agriculture, sont issus d’une agriculture naturelle, sans engrais ou pesticides chimiques ou de synthèse. Le boom du bio atteint donc aujourd’hui aussi les rayons puéricultures. Ces produits apportent plus de vitamines C, et surtout ce qui est très important pour bébé, moins de nitrates qui consommés à hautes doses sont cancérigènes et peuvent entraîner des problèmes sanguins. De plus, le consommateur de produits bios a une meilleure résistance aux infections. Fadeur, consistance homogène et pâteuse sont les points négatifs des petits pots traditionnels, et entraînent des problèmes d’accoutumance et des difficultés pour apprendre à mastiquer. La marque Babybio met un point d’honneur à ce que les petits pots bios éveillent bébé à de nouvelles saveurs plus naturelles, tout en variant les textures.
Petits pots versus purées maison
La fabrication des petits pots bios et traditionnels est très réglementée. Hygiène et qualité nutritionnelle sont contrôlées par les industriels. La sécurité bactériologique est totale. D’autre part additifs et pesticides sont proscrits de leur composition. La qualité des fruits et légumes est très surveillée, en particulier en ce qui concerne les nitrates, pesticides, hormones et autres antibiotiques. Enfin, la teneur en sucre est limitée à 15 %. De plus, ce sont des menus équilibrés, puisqu’ils contiennent les apports en vitamines, minéraux et protéines indispensables pour les enfants en bas âge.
Côté purées maison, on marque des points concernant le goût, la diversité, les couleurs, la maîtrise totale de la composition et de la texture. De plus, à quantité égale de 100 g, les petits pots de fruits et légumes contiennent environ deux fois plus de sucre qu’une purée maison. Cet ajout est techniquement indispensable, car il permet de lier la préparation. En ce qui concerne les recettes à base de viande, on trouve 2 à 3 fois moins de protides et de graisse que dans une viande achetée chez le boucher, et ces préparations contiennent des sucres, ce qui n’est pas le cas d’un produit frais.
La meilleure solution pour nourrir bébé est donc d’alterner entre petits pots et purées maison. Bio ou pas bio c’est selon vos goûts, vos convictions personnelles, et votre porte-monnaie.

Perrine Roux (lepetitjournal.com) 20 février 2007

Conseil d’utilisation :
Ils se conservent à température ambiante, dans un placard. Il faut faire attention à la date de péremption, ainsi qu’à l’intégrité du couvercle. Si ce dernier est bombé, il faut vérifié qu’il n’est pas été ouvert. Le bruit de déclic est un bon indicateur. Après ouverture, le petit pot ne se conserve que 24 heures au réfrigérateur. Il ne faut pas saler ces préparations

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5 octobre 2006 4 05 /10 /octobre /2006 12:50

L'Agence française de l'adoption a ouvert ses portes en mai dernier. Sa directrice générale, la magistrate Laure de Choiseul, nous explique son fonctionnement et la nécessité d'un tel organisme gouvernemental.
L'Express.fr : Pourquoi avoir créé l'Agence Française de l'Adoption ?

Laure de Choiseul : Le constat était simple. Deux possibilités s'offraient aux familles désireuses d'adopter un enfant : elles passaient par un organisme bénévole d'adoption - 38% des cas - ou elles entamaient une démarche individuelle - 62 % des demandes. C'est sur cette dernière opportunité que se posait, et se pose toujours, l'essentiel des difficultés. La crédibilité internationale de ces demandes individuelles n'était pas reconnue par certains pays. Il fallait donc offrir une troisième voie pour ceux qui se retrouvaient parfois dans une réelle impasse. Une aide dans les démarches administratives qu'imposent les procédures d'adoption avec l'étranger. Celles-ci représentent 4000 des 5000 adoptions concrétisées chaque année en France.

L'Express.fr : Quelles améliorations va apporter l'A.F.A. dans le processus d'adoption ?

Laure de Choiseul : Notre travail n'est pas, pour l'instant, tourné vers des objectifs quantitatifs mais plutôt qualitatifs. L'A.F.A. a trois missions. La première consiste à informer les familles sur les législations de chaque pays potentiel - qui sont très fluctuantes - ainsi que sur l'identité de l'enfant. Deuxièmement, nous avons une mission de conseil visant à affiner le projet d'adoption de chaque couple. Enfin, nous sommes là pour accompagner le dossier monté avec ce dernier et pour faciliter les démarches auprès du pays au cours du processus d'adoption et jusqu'au visa pour rentrer en France après avoir nous-même envoyé le dossier. En somme, nous sommes des " facilitateurs ", un organisme gouvernemental qui permettra que cette aventure se passe le mieux possible pour des familles qui ont souvent l'impression de vivre un véritable parcours du combattant.

L'Express.fr : Beaucoup de pays sont récalcitrants, voire fermés, à l'adoption par demande individuelle. Leur attitude va-t-elle changer ?

Laure de Choiseul : Il est vrai que certains Etats sont très fermés à ce type de demandes. La mort d'un enfant, il y a quelques mois, adopté par des Américains, avait suscité un vif émoi. C'est pourquoi des pays tels que la Russie, la Chine ou encore le Vietnam sont devenus plus stricts et demandent désormais plus de sécurité. Ils ont pris conscience de la richesse de ces enfants, même s'ils n'ont pas la possibilité de les garder. Avec la mise en place de l'agence, les choses vont changer. Nous seront en présence, cette fois-ci, de demandes individuelles accompagnées. Cela va rassurer les autorités étrangères et des relations privilégiées vont pouvoir être tissées. Ainsi, nous avons déjà pu obtenir un accord avec la Chine, où environ 400 enfants sont adoptés chaque année par des Français, qui va considérablement améliorer le traitement des dossiers et même l'accélérer.

Propos recueillis par Sahra Saoudi pour LEXPRESS.fr (18mai 2006)

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